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<!DOCTYPE article PUBLIC "-//OASIS//DTD DocBook XML V4.5//EN" 
 "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/4.5/docbookx.dtd" [
<!ENTITY howto      "http://www.traduc.org/docs/howto/lecture/">
<!ENTITY guide      "http://www.traduc.org/docs/guides/lecture/">
]>

<article lang="fr">
  <articleinfo>
  
    <title>
    
      Petit guide de Linux + WindowsNT
    
    </title>
    <subtitle>
    
     Version française du <foreignphrase lang="en">Linux+WindowsNT 
     mini-HOWTO</foreignphrase>
    
    </subtitle>    

    <releaseinfo>Version&nbsp;: 2.26.fr.1.0</releaseinfo>
    
    <pubdate>17 janvier 2007</pubdate>

    <author>
      <firstname>Miroslav</firstname>
      <othername role="nickname">Misko</othername>
      <surname>Skoric</surname> 
      <email>skoric CHEZ eunet POINT yu</email>
    </author>

    <othercredit role="traduction" class="translator">
      <firstname>Alain</firstname>
      <surname>Boulé</surname>
      <contrib>Adaptation française</contrib>
      <email>alain POINT boule CHEZ free POINT fr</email>
    </othercredit>

    <othercredit role="relecture" class="translator">
      <firstname>Jérôme</firstname>
      <surname>Blondel</surname>
      <contrib>Relecture de la version française</contrib>
      <email>jeromeblondel CHEZ yahoo POINT fr</email>
    </othercredit>

    <othercredit role="publication" class="copyeditor">
      <firstname>Jean-Philippe</firstname>
      <surname>Guérard</surname>
      <contrib>Préparation de la publication de la v.f.</contrib>
      <email>fevrier CHEZ tigreraye POINT org</email>
    </othercredit>

    <revhistory>
      <revision>
         <revnumber>2.26.fr.1.0</revnumber>
         <date>2007-02-15</date>
         <authorinitials>AB, JB, JPG</authorinitials>
         <revremark>

           Première adaptation française.

         </revremark>
      </revision>

      <revision>
         <revnumber>2.26</revnumber>
         <date>2006-07-28</date>
         <authorinitials>MS</authorinitials>
         <revremark>
         
           Version initiale.
                
           <emphasis lang="en">Original release.</emphasis>
                
         </revremark>
      </revision>
   </revhistory>

    <abstract><para>
      
        Ce petit guide décrit l'installation de Linux et de 
        Windows&nbsp;NT sur un même ordinateur et le démarrage de l'un 
        ou l'autre de ces systèmes d'exploitation à l'aide du menu de 
        LILO. Il existe par ailleurs un autre petit guide, le <ulink 
        url="&howto;Linux+NT-Loader.html">Petit guide Chargeur NT + 
        Linux</ulink>, qui décrit l'amorçage de l'un ou l'autre de ces 
        systèmes à l'aide du menu de démarrage de NT. Puisque je 
        considère, en réalité, Windows&nbsp;2000 comme la version 5.0 de 
        Windows&nbsp;NT, ce petit guide décrit également la mise à 
        niveau de Windows&nbsp;NT 4.0 vers Windows&nbsp;2000.
        
    </para></abstract>
    
  </articleinfo>
  <para>
  
  Vous trouverez des informations plus détaillées sur LILO 
  <foreignphrase lang="en">(Linux Loader)</foreignphrase> dans le 
  superbe <ulink url="&howto;LILO.html">Petit guide LILO</ulink>.
  
  </para>

  <sect1>
    <title>Nouvelles versions de ce document</title>

    <para>

      Vous trouverez la plus récente version française de ce document à 
      l'adresse&nbsp;: <ulink url="&howto;Linux+WinNT.html"/>

    </para>

    <para>

      La plus récente version originale de ce document est disponible à 
      l'adresse&nbsp;: <ulink 
      url="http://www.tldp.org/HOWTO/Linux+WinNT.html"/>

    </para>

  </sect1>


  <sect1>
    <title>Introduction</title>
    <para>
    
    Bill Wohler a écrit dans la version 1.1 du petit guide 
    Linux+Windows&nbsp;NT&nbsp;:
    
    </para>
    <para>
    
      <emphasis><quote>À cause de problèmes matériels, logiciels et par 
      manque d'espace, je me suis arraché les cheveux pendant plusieurs 
      jour pour essayer de faire cohabiter Windows&nbsp;NT et Linux sur 
      mon nouveau PC au travail, un HP Vectra</quote></emphasis>
      
    </para>
    <para>
    
       Je dirais que cela a été vrai pour moi également, mais il est 
       <emphasis>réellement</emphasis> possible de faire coexister Linux 
       et Windows&nbsp;NT sur une même machine et de basculer de l'un 
       des systèmes à l'autre.
    
    </para>
       
    <para>
        
        <emphasis><quote>Il ne faut en aucun cas utiliser le 
        gestionnaire de disques de NT 3.51 pour formater des partitions. 
        Il demande s'il peut écrire une signature et précise que cela 
        <quote>ne causera aucun dommage</quote>. Une fois cette 
        opération effectuée, ma table de partition a été détruite et n'a 
        pu être réparée qu'aux étapes 3 et 7 décrites ci-dessous. À 
        cause de ces problèmes, j'ai été limité à une seule partition NT 
        au format FAT. Rappelez-vous également que, même si vous 
        parvenez à utiliser le gestionnaire de disques, il vous faudra, 
        au minimum, une petite partition FAT pour le partage de fichiers 
        entre Linux et NT, et ceci sera vrai tant que Linux ne possédera 
        pas de système de fichier NTFS</quote></emphasis>
        
    </para>
    <para>
    
       Ceci étant dit, le gestionnaire de disques de NT est un outil qui 
       permet de vérifier l'état de votre disque dur avant et après 
       utilisation d'un outil de Power Quest, appelé Partition Magic. 
       Cet outil peut s'avérer utile pour réduire la partition de NT 
       (NTFS ou FAT) afin d'obtenir un espace libre disponible, par la 
       suite, pour les partitions de Linux. (À un moment donné, je me 
       suis rendu compte que réduire la partition utilisée n'était pas 
       réellement nécessaire. En fait, si vous démarrez de zéro, il peut 
       être préférable de reformater entièrement le disque dur à l'aide 
       de la commande <emphasis>FDISK</emphasis>. Il vous faudra créer 
       une disquette d'amorçage DOS contenant les utilitaires FDISK et 
       FORMAT. Des précisions sont données ci-dessous.)
       
    </para>
    <para>
      
      <emphasis><quote>J'ai d'abord installé Linux puis ensuite NT mais, 
      d'après mon expérience, je pense qu'il devrait être possible 
      d'installer NT en premier et Linux en second.</quote></emphasis>
      
    </para>
    <para>
    
       Bien entendu, vous êtes tous en mesure d'installer 
       Windows&nbsp;NT en premier et Linux en second. Nous allons voir 
       comment y parvenir et comment utiliser <emphasis>LILO</emphasis> 
       (pour <foreignphrase lang="en">Linux Loader</foreignphrase>) pour 
       choisir le système d'exploitation au démarrage. Mais, avant cela, 
       nous allons examiner la procédure utilisée par Bill Wohler qui 
       était auparavant l'auteur de ce petit guide&nbsp;:
       
     </para>
  </sect1>
  <sect1>
    <title>Installation de LINUX 
    <emphasis>d'abord</emphasis>, et de WINDOWS&nbsp;NT 
    <emphasis>ensuite</emphasis></title>
    
    <orderedlist>
    <listitem><para>
    
    Installez un Linux minimal (ne tentez pas d'installer le reste 
    avant d'avoir gagné la bataille Linux-NT). Créez les partitions de 
    disques uniquement à l'aide de Linux, y compris la partition NT 
    (choisissez le format FAT). Je n'ai pas réussi à créer plus d'une 
    seule partition NT. Je l'ai également créée comme première partition 
    mais je ne sais pas si cela était réellement indispensable.
    
    </para></listitem>

    <listitem><para>
    
    Modifiez le fichier <literal>/etc/lilo.conf</literal>, inscrivez 
    <emphasis>boot=/dev/sda</emphasis> (je n'ai pas réussi à installer 
    LILO sur la partition Linux qui, dans mon cas, était 
    <literal>/dev/sda3</literal>) puis lancez lilo. Il vous faudra 
    utiliser l'éditeur de texte ae. Vous survivrez.
    
    </para></listitem>
    
    <listitem><para>
    
    Sauvegardez le MBR à l'aide de la commande&nbsp;: <emphasis>dd 
    if=/dev/sda of=/dev/fd0 bs=512 count=1</emphasis> Utilisez une 
    disquette. Faites moi confiance. Faites-le également à chaque fois 
    que vous modifiez votre table de partitions.
    
    </para></listitem>
    
    <listitem><para>
    
    Installer NT, seulement la première partie. Quand il redémarrera 
    l'ordinateur, vers le milieu de l'installation, vous serez sous 
    Linux.
    
    </para></listitem>
    
    <listitem><para>
    
    Ajoutez un couplet NT au fichier 
    <filename>/etc/lilo.conf</filename>, par exemple&nbsp;:
    
    </para>

<screen>
other=/dev/sda1
label=NT
table=/dev/sda
</screen>

    <para>
    
    Lancez lilo. Si lilo signale une erreur (j'ai oublié le message 
    exact), ajoutez l'option <quote>linear</quote> au fichier 
    /etc/lilo.conf, près du mot-clé <quote>compact</quote>. De plus, si 
    NT a endommagé votre table de partitions, vous devrez ajouter 
    <quote>ignore-table</quote> ou suivre les instructions de l'alinéa 
    <xref linkend="alinea_sept"/>. Voyez aussi <quote>fix-table</quote>. 
    N'hésitez pas à consulter le guide pratique LILO.
    
    </para></listitem>

    <listitem><para>
    
    Redémarrez l'ordinateur, sélectionnez NT à partir du menu LILO et 
    terminez l'installation de NT. Vous devrez utiliser la disquette 
    <quote>disquette d'amorçage XU, HP VECTRA AIC 7800 Pilote 
    A.01.02</quote> pour installer les pilotes Ethernet et les drivers 
    XU/VT. Vous devrez également utiliser le CD 
    <quote>documentation</quote> (répertoire video/disk4, si ma mémoire 
    est bonne) pour installer les pilotes vidéo de la carte Matrox MGA 
    Millenium.
    
    </para></listitem>

    <listitem id="alinea_sept"><para>
    
    Redémarrez sous Linux, lancez fdisk et assurez vous que le 
    message d'erreur <quote>la partition ne se termine pas sur une 
    frontière de cylindre</quote> n'apparaît pas. Ce message sera 
    cependant affiché pour votre partition NT, mais cela ne semble pas 
    poser de problèmes.
    
    </para>

<screen>
/dev/sda1 1 1 322 329301 6 DOS 16-bit &gt;=32M
</screen>

    <para>
    
    La partition 1 ne se termine pas sur une frontière de 
    cylindre&nbsp;:
    
    </para>
    
    <para>
    
    phys=(321, 39, 9) devrait être (321, 63, 32)
    
    </para>
    <para>
    
    Cfdisk rend compte de bizarreries mais tout semble correct
    
    </para>

<screen>
                      Unusable                 0.04*
/dev/sda1   Primary   DOS 16-bit &gt;=32Mb      321.59*
                      Unusable                 0.39*
</screen>

    <para>
    
    Si vous obtenez l'avertissement concernant les frontières de 
    cylindre pour vos partitions Linux, l'utilisation de cfdisk permet 
    d'y remédier sans prendre de risques en modifiant, par exemple, le 
    secteur d'amorçage.
    
    </para>

    <para>
    
    Cependant, si NT a réellement détruit quelque chose et si cfdisk 
    s'interrompt en émettant un message d'erreur concernant l'ouverture 
    de /dev/sda, il vous faudra employer des moyens plus radicaux. Vous 
    devrez utiliser le MBR que vous avez sauvegardé antérieurement. 
    Effacez le MBR puis restaurez-le (sans la signature) à l'aide des 
    commandes&nbsp;:
    
    </para>

<screen>
dd if=/dev/zero of=/dev/sda bs=512 count=1
dd if=/dev/fd0 of=/dev/sda bs=510 count=1
</screen></listitem>

    <listitem><para>Terminez l'installation de Linux. Facile, 
    non&nbsp;?</para>

    <para>
    
    Si vous préférez que ce soit NT qui écrive le MBR plutôt que LILO, 
    il vous faudra probablement suivre les instructions suivantes afin 
    d'effacer le MBR en premier&nbsp;:
    
    </para>

    <para>
      <itemizedlist>
        <listitem><para>

          Sous Linux, faites un&nbsp;:
          
          </para>
          
<programlisting>
dd if=/dev/zero of=/dev/sda bs=446 count=1
</programlisting>

          <para>

          ou effectuez un formatage de bas niveau à l'aide des 
          utilitaires SCSI. J'ai entendu dire qu'un formatage de bas 
          niveau de disque IDE était fatal, aussi évitez-le.
          
        </para></listitem>

        <listitem>
        
<programlisting>        
fdisk /mbr
</programlisting>

        <para>

          (Vous avez certainement créé une disquette d'amorçage DOS 
          contenant fdisk.)
        
        </para></listitem>
        
        <listitem><para>
        
        Supprimez la partition NT puis recréez-la au cours de 
        l'installation de NT.
        
        </para></listitem>
        
        <listitem><para>
        
        Terminez l'installation de NT.
        
        </para></listitem>
      </itemizedlist>
    </para></listitem>
    
    </orderedlist>

    <para>
    
    Épilogue&nbsp;: après avoir écrit ce message, j'ai entendu plusieurs 
    personnes dire qu'elles n'avaient eu aucun problème avec le 
    gestionnaire de disques de NT et qu'elles avaient réussi à installer 
    NT ou Linux en premier sans problèmes. Vous aurez peut être la 
    chance de vous trouver dans ce cas, mais sinon, ce récit de feu de 
    camp vous sera peut être utile.
    
    </para>

    <para>
    
    Depuis la première édition de ce petit guide, d'autres auteurs ont 
    écrit des documents similaires. N'hésitez pas à les consulter. Si 
    votre expérience n'est conforme à aucun d'entre eux, vous devriez 
    écrire votre propre mini guide ou transmettre une version mise à 
    jour de ce document au responsable du présent document. Faites 
    référence à cette phrase et transmettez moi seulement une copie 
    parce que je n'ai pas le temps de mettre à jour ce document. Il 
    serait bien que quelqu'un se charge de rassembler tous ces documents 
    en un seul guide pratique cohérent.
    
    </para>

    <para>
    
    En fin de compte, j'ai bien peur que l'ensemble de mes connaissances 
    à ce sujet ne se résume à ce document. Pour obtenir plus 
    d'information, consultez les forums Linux. J'utilise NT, au plus une 
    fois par an, et encore, sous la contrainte.
    
    </para>
  </sect1>

  <sect1>
    <title>Installation de Windows&nbsp;NT 
    <emphasis>d'abord</emphasis>, et de LINUX 
    <emphasis>ensuite</emphasis></title>

    <sect2>
      <title>Installation avec <emphasis>un seul</emphasis> disque dur</title>
      <para>
        <itemizedlist>
          <listitem>
            <para>
            
            Tout d'abord, je vous conseille de faire une réinstallation 
            complète de Windows&nbsp;NT sur votre disque dur. Comme je 
            suppose que vous avez déjà sauvegardé vos données 
            importantes, l'installation de NT ne devrait pas poser de 
            problèmes. Au cours de l'installation, le programme ne vous 
            demandera pas où placer le chargeur de NT, il le placera 
            probablement dans le MBR (Master Boot Record) sur votre 
            disque dur. Il est néanmoins possible qu'une partie des 
            données de l'ancien MBR soit conservée dans le nouveau, en 
            particulier un ancien programme Lilo, aussi, je vous 
            conseille (avant d'installer NT) de démarrer l'ordinateur à 
            partir d'une disquette DOS comportant le programme FDISK de 
            DOS. À l'invite du DOS, lancez la commande <emphasis>fdisk 
            /mbr</emphasis> puis redémarrez l'ordinateur, cette fois, 
            sans la disquette.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Après l'installation de NT vous constaterez que ce système 
            occupe l'ensemble du disque dur ou peut être une partition 
            particulière, en fonction des choix effectués au cours de 
            l'installation. C'est pourquoi il est conseillé de réduire 
            la partition où réside NT afin de libérer de l'espace sur le 
            disque. Vous installerez Linux dans cet espace libre. Une 
            fois NT configuré et en état de fonctionner correctement, 
            redémarrez l'ordinateur à partir d'une disquette comportant 
            le programme Partition Magic de Power Quest. C'est un outil 
            graphique qui permet d'observer l'ensemble des partitions 
            des disques durs. Un de ses intérêts majeurs est de 
            permettre la modification de certaines des partitions sans 
            détruire les données existantes. Il est par exemple possible 
            de diminuer la taille des partitions afin d'obtenir un 
            espace libre pouvant servir à autre chose. Il est préférable 
            de faire une sauvegarde avant de modifier les partitions 
            mais j'ai pour habitude de réduire la partition NT avant 
            d'installer autre chose en plus de NT (ainsi, si cela est 
            nécessaire, réinstaller plusieurs fois NT ne me pose pas de 
            problèmes). Partition Magic (ou tout autre utilitaire qui 
            vous est familier) réduira votre partition NT (NTFS ou FAT) 
            à une taille moindre et la placera, soit au début, soit à la 
            fin de l'espace qu'elle occupait auparavant. Cela signifie 
            que vous avez le choix de placer votre partition NT réduite, 
            soit au début, soit à la fin du disque (je choisis 
            habituellement de la placer au début, l'espace entre la fin 
            de cette partition et la fin du disque devenant ainsi un 
            espace libre). Une fois la réduction effectuée vous pouvez 
            redémarrer NT afin de vérifier la nouvelle 
            répartition&nbsp;: cette vérification est possible à l'aide 
            de l'explorateur de Windows ou du gestionnaire de disques.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Comme expliqué en introduction, il n'est 
            <emphasis>pas</emphasis> toujours nécessaire d'utiliser des 
            outils tels que Partition Magic. Cet outil est cependant 
            extrêmement utile si, après avoir utilisé NT depuis 
            longtemps, vous ne souhaitez pas repartir de zéro. C'est le 
            cas par exemple si NT et vos applications favorites vous 
            donnent entière satisfaction. Vous ne souhaitez pas détruire 
            NT mais vous avez remarqué qu'il reste assez d'espace 
            <emphasis>inutilisé</emphasis> à l'intérieur de la partition 
            NT (la partition NT semble être plutôt clairsemée). 
            Partition Magic est utile dans ce cas. Si au contraire vous 
            êtes prêt à tout recommencer depuis le début, ou si, pour 
            vous, reformater le disque dur ne pose pas de problème, il 
            est possible de se procurer une disquette vierge, d'en faire 
            une disquette d'amorçage DOS et d'y copier deux utilitaires 
            DOS&nbsp;: FDISK et FORMAT. Redémarrez l'ordinateur à l'aide 
            de cette disquette et, à l'invite <emphasis>A:\</emphasis>, 
            lancez la commande <emphasis>fdisk</emphasis>. Vous aurez 
            alors la possibilité de repartitionner votre ou vos disques 
            durs. Vous pouvez par exemple utiliser une partie du disque 
            pour créer une partition FAT (où vous pourrez installer NT). 
            Il est conseillé de ne rien faire de l'espace restant du 
            disque (n'essayez pas de créer des partitions Linux à l'aide 
            de l'utilitaire FDISK de DOS). Si vous tenez 
            <emphasis>absolument</emphasis> à créer des partitions 
            Linux, dès cet instant, utilisez plutôt l'utilitaire FDISK 
            de Linux.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Ceci étant réalisé, la prochaine étape est l'installation de 
            Linux. Si la distribution RedHat vous est familière 
            (j'espère qu'il en est de même avec les autres 
            distributions), vous commencez par insérer le CD dans le 
            lecteur puis vous redémarrez l'ordinateur. Lorsqu'il vous 
            faudra choisir le type d'installation (station de travail, 
            Gnome, KDE, personnalisée, etc.), sélectionnez celle que 
            vous avez prévu à l'avance, mais je conseille de choisir 
            l'installation de type station de travail <emphasis>pour 
            commencer</emphasis>. En effet, le programme d'installation 
            de Linux détectera <emphasis>automatiquement</emphasis> 
            l'espace libre, créera et formatera correctement les 
            partitions nécessaires à Linux et effectuera la plupart des 
            choix par défaut ce qui vous simplifiera la tâche 
            (<emphasis>par la suite</emphasis>, il vous sera possible 
            <emphasis>d'ajouter</emphasis> les composants manquants ou 
            de <emphasis>refaire</emphasis> une installation 
            personnalisée de RedHat en utilisant la même partition). Le 
            programme Lilo devra être copié dans le MBR.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
              <emphasis>N'oubliez pas ce créer la disquette d'amorçage 
              Linux. Vous pourriez en avoir besoin à tout moment. Si le 
              MBR est endommagé et si vous n'avez pas la disquette 
              d'amorçage, vous ne pourrez plus accéder à Linux, et il 
              vous faudra alors effectuer une réinstallation 
              complète.</emphasis>
              
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Lorsque l'installation de Linux sera effectuée, redémarrez 
            l'ordinateur, le programme <emphasis>Lilo</emphasis> 
            s'exécutera mais ne vous proposera qu'un seul choix&nbsp;: 
            Linux (ou peut être plusieurs Linux si votre matériel est de 
            type multiprocesseur). Ne vous affolez pas&nbsp;! 
            Windows&nbsp;NT est toujours présent, là où vous l'avez 
            installé avant Linux. En vous familiarisant avec Linux vous 
            serez alors en mesure de trouver et de modifier le fichier 
            <emphasis>/etc/lilo.conf</emphasis> . Lorsque vous ouvrirez 
            pour la première fois ce fichier, vous constaterez qu'il ne 
            comporte que des entrées Linux, une ou plusieurs. Vous 
            connaissez certainement la partition où est installé 
            Windows&nbsp;NT, ajoutez l'entrée correspondante au fichier 
            <literal>/etc/lilo.conf</literal> . Une fois ces 
            modifications effectuées, relancez Lilo à l'aide la commande 
            <emphasis>/sbin/lilo</emphasis> puis, lorsque l'ordinateur 
            redémarrera, Lilo affichera cette fois un menu proposant 
            Linux et NT (ou DOS ou autre).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>L'entrée que j'ai rajoutée pour NT est&nbsp;:</para>

<screen>
other=/dev/hda1
label=nt
</screen>

            <para>
            
            Le fichier <literal>/etc/lilo.conf</literal> complet 
            ressemble à ceci&nbsp;:
            
            </para>

<screen>
boot=/dev/hda
timeout=50
prompt
  default=linux
  vga=normal
  read-only
image=/boot/vmlinuz-2.2.12-20
  label=linux
  root=/dev/hda3
other=/dev/hda1
  label=nt
</screen>

          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Quelques explications complémentaires à propos de mon 
            fichier <literal>/etc/lilo.conf</literal>&nbsp;: après avoir 
            installé Windows&nbsp;NT, j'ai nommé son disque 
            <literal>C:</literal>. D'autre part, je souhaitais avoir une 
            autre partition NTFS afin de stocker et de sauvegarder des 
            fichiers importants, au cas où il me faudrait réinstaller NT 
            dans <literal>C:</literal> pour une raison quelconque. C'est 
            la raison pour laquelle j'ai créé une autre partition NT que 
            j'ai nommée <literal>D:</literal>. Les deux partitions NTFS 
            font chacune environ 3&nbsp;Go et le programme 
            d'installation de Linux les a trouvées et nommées /dev/hda1 
            et /dev/hda2. Il restait un espace libre sur le disque 
            d'environ 2&nbsp;Go, j'y ai créé la partition /root qui 
            occupe environ 1,9&nbsp;Go et la partition /swap qui occupe 
            environ 100&nbsp;Mo (respectivement /dev/hda3 et /dev/hda4). 
            Lilo a été copié dans le MBR et tout a fonctionné 
            correctement.
            
            </para>

            <para>
            
            Pour information, cette fois-là, j'avais 
            <emphasis>décidé</emphasis> de créer ces partitions Linux. 
            Par la suite je me suis aperçu que cela n'était pas 
            nécessaire, ainsi, maintenant, je laisse le programme 
            d'installation de Linux créer les partitions à partir de 
            l'espace libre, comme il lui convient. Je lui fais confiance 
            :-)
            
            </para>
          </listitem>
        </itemizedlist>
      </para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Installation avec <emphasis>plusieurs</emphasis> disques (SCSI)</title>
      <para>
        <emphasis>
        
        Remarque&nbsp;: chez moi, un des ordinateurs possède plusieurs 
        disques SCSI. C'est la raison pour laquelle j'ai ajouté le terme 
        SCSI entre parenthèses. Il possède une paire de contrôleurs 
        SCSI, un lecteur de CD-ROM SCSI, et un lecteur de bande SCSI. 
        Cela ne signifie pas que vous utiliserez également du matériel 
        SCSI. Vous aurez probablement plusieurs disques IDE, mais 
        j'espère que la procédure d'installation sera similaire, sinon 
        identique.</emphasis>
        
      </para>
      <para>
        <itemizedlist>
          <listitem>
            <para>
            
            Tout d'abord, je conseille de faire une nouvelle 
            installation de Windows NT 4.0 sur le 
            <emphasis>premier</emphasis> disque dur. Je suppose que vous 
            avez déjà sauvegardé vos données importantes, aussi, 
            l'installation de NT ne devrait pas poser de problèmes. Vous 
            pouvez par exemple copier vos données sur votre deuxième 
            disque. Au cours de l'installation, le programme ne 
            demandera pas où placer le chargeur de NT, il devrait le 
            placer dans le MBR (Master Boot Record) du 
            <emphasis>premier</emphasis> disque dur. Il est cependant 
            possible qu'un reste du précédent MBR soit conservé dans le 
            nouveau (en particulier un ancien Lilo), aussi, je conseille 
            (avant d'installer NT) de démarrer l'ordinateur à partir 
            d'une disquette DOS contenant le programme FDISK de DOS. À 
            l'invite <literal>A:\></literal>, lancez la commande 
            <emphasis>fdisk /mbr</emphasis> puis redémarrez l'ordinateur 
            (enlevez la disquette au préalable). Si vous tenez à partir 
            d'une machine vierge, supprimez également les partitions de 
            vos <emphasis>autres</emphasis> disques durs lors de 
            l'installation de Windows&nbsp;NT. <emphasis>Assurez vous 
            cependant de n'avoir pas sauvegardé de données dans ces 
            partitions.</emphasis>
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Une fois l'installation de NT terminée, vous constaterez que 
            ce système occupe l'ensemble du disque ou une partition 
            particulière (en fonction des choix effectués lors de 
            l'installation). C'est pourquoi il est conseillé de réduire 
            la partition contenant NT afin de libérer de l'espace sur le 
            disque. Vous pourrez installer Linux dans cet espace libéré. 
            Vous pourriez envisager d'utiliser les autres disques pour 
            Linux (je l'ai fait). Dans ce cas, lors de l'installation de 
            Linux, vous pourriez utiliser, par exemple, /dev/sdb (sdc, 
            sdd, ou autre dans le cas du SCSI) ou /dev/hdb (hdc, hdd, ou 
            autre dans le cas de l'IDE). Le programme d'installation de 
            Linux semblait accepter n'importe lequel de mes choix, mais 
            il se trouve que, dans ce cas, après l'installation, Lilo ne 
            fonctionnait plus. En réalité, il s'arrêtait après 
            <quote>LI</quote> et il était impossible de démarrer Linux. 
            Finalement, après m'être arraché les cheveux, j'ai décidé de 
            tout installer sur le <emphasis>premier</emphasis> disque. 
            Ainsi, après avoir configuré et essayé NT, j'ai redémarré 
            mon ordinateur à partir d'une disquette contenant 
            l'utilitaire Partition Magic de Power Quest. C'est un outil 
            graphique capable d'afficher l'ensemble des partitions des 
            divers disques. Un de ses intérêts est qu'il permet de 
            modifier certaines des partitions sans perte de données. Il 
            est possible, par exemple, de réduire la taille d'une 
            partition existante, afin de libérer de l'espace disque 
            utilisable pour autre chose. Bien qu'il soit conseillé de 
            faire une sauvegarde avant toute modification de partitions, 
            j'ai pour habitude de <quote>réduire</quote> la partition de 
            NT <emphasis>avant</emphasis> d'installer autre chose que NT 
            lui-même (ainsi, si nécessaire, une réinstallation 
            répétitive ne poserait pas de problèmes). Partition Magic 
            (ou tout autre utilitaire dont vous êtes familier) réduira 
            votre partition NT (NTFS ou FAT) à une taille moindre et la 
            placera soit au début soit à la fin de l'espace qu'elle 
            occupait précédemment. Cela signifie que vous avez le choix 
            de placer votre partition NT réduite, soit au début, soit à 
            la fin du disque (je choisis habituellement de la placer au 
            début, l'espace entre la fin de cette partition et la fin du 
            disque devenant ainsi un espace libre). J'ai rencontré 
            quelques problèmes lorsque l'espace libre était situé au 
            début du disque (nous le verrons ci-dessous). Une fois la 
            réduction effectuée, vous pouvez redémarrer NT afin de 
            vérifier la nouvelle répartition&nbsp;: cette vérification 
            est possible à l'aide de l'explorateur de Windows ou du 
            gestionnaire de disques. Vous pourrez également observer que 
            NT peut <quote>voir</quote> tous les (autres) disques 
            présents dans votre ordinateur (qu'ils soient partitionnés 
            ou zones d'espace libre).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Comme expliqué ci-dessus, il n'est <emphasis>pas</emphasis> 
            toujours nécessaire d'utiliser des outils tels que Partition 
            Magic. Cet outil est cependant extrêmement utile si vous 
            utilisez NT depuis longtemps et si vous ne souhaitez pas 
            repartir de zéro. C'est le cas, par exemple, si NT et vos 
            applications favorites vous donnent entière satisfaction. 
            Vous ne souhaitez pas détruire NT mais vous avez remarqué 
            qu'il reste assez d'espace <emphasis>inutilisé</emphasis> à 
            l'intérieur de la partition NT (la partition NT semble être 
            plutôt clairsemée). Partition Magic est utile dans ce cas. 
            Si au contraire vous êtes prêt à tout recommencer depuis le 
            début, ou, si reformater le disque dur ne vous pose pas de 
            problème, il est possible de se procurer une disquette 
            vierge, d'en faire une disquette d'amorçage DOS et d'y 
            copier deux utilitaires DOS&nbsp;: FDISK et FORMAT. 
            Redémarrez l'ordinateur à l'aide de cette disquette et, à 
            l'invite <emphasis>A:\</emphasis>, lancez la commande 
            <emphasis>fdisk</emphasis>. Vous aurez alors la possibilité 
            de repartitionner votre ou vos disques durs. Vous pouvez par 
            exemple utiliser une partie du disque pour créer une 
            partition FAT (vous pourrez y installer NT). Il est 
            conseillé de ne rien faire de l'espace restant du disque 
            (n'essayez pas de créer des partitions Linux à l'aide de 
            l'utilitaire FDISK de DOS). Si vous tenez 
            <emphasis>absolument</emphasis> à créer des partitions Linux 
            dès cet instant, utilisez plutôt l'utilitaire FDISK de 
            Linux.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Ceci étant réalisé, la prochaine étape est l'installation de 
            Linux. Si la distribution RedHat vous est familière 
            (j'espère qu'il en est de même avec les autres 
            distributions), commencez par insérer le CD dans le lecteur 
            puis redémarrez l'ordinateur. Lorsqu'il vous faudra choisir 
            le type d'installation (station de travail, Gnome, KDE, 
            personnalisée, etc.) sélectionnez celle que vous avez prévue 
            à l'avance, mais je conseille de choisir l'installation de 
            type station de travail pour commencer. En effet, le 
            programme d'installation de Linux détectera automatiquement 
            l'espace libre sur le <emphasis>premier</emphasis> disque 
            dur, créera et formatera correctement les partitions 
            nécessaires à Linux et effectuera la plupart des choix par 
            défaut ce qui vous simplifiera la tache (par la suite, il 
            vous sera possible d'ajouter les composants manquants ou de 
            refaire une installation personnalisée de RedHat en 
            utilisant la même partition). Le programme Lilo devra être 
            copié dans le MBR de votre <emphasis>premier</emphasis> 
            disque.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Lorsque l'installation de Linux sera effectuée, redémarrez 
            l'ordinateur, le programme Lilo s'exécutera mais ne vous 
            proposera qu'un seul choix&nbsp;: Linux (ou peut être 
            plusieurs Linux si votre matériel est de type 
            multiprocesseur). Ne vous affolez pas&nbsp;! Windows&nbsp;NT 
            est toujours présent, là où vous l'avez installé avant 
            Linux. En vous familiarisant avec Linux vous serez alors 
            capable de trouver et de modifier le fichier 
            <literal>/etc/lilo.conf</literal>. Lorsque vous ouvrirez 
            pour la première fois ce fichier, vous constaterez qu'il ne 
            comporte que des entrées Linux, une ou plusieurs. Vous 
            devriez connaître la partition où est installé 
            Windows&nbsp;NT, ajoutez l'entrée correspondante au fichier 
            <literal>/etc/lilo.conf</literal>. Une fois ces 
            modifications effectuées, relancez Lilo à l'aide la commande 
            <emphasis>/sbin/lilo</emphasis> puis, lorsque l'ordinateur 
            redémarrera, Lilo affichera cette fois un menu proposant 
            Linux et NT (ou DOS ou autre).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Mon entrée NT supplémentaire est&nbsp;:
            
            </para>
<screen>
other=/dev/sda1
label=nt
</screen>
            <para>
            
            Le fichier <literal>/etc/lilo.conf</literal> entier 
            ressemble à&nbsp;:
            
            </para>

<screen>
boot=/dev/sda
map=/boot/map
install=/boot/boot.b
prompt
timeout=50
default=linux
image=/boot/vmlinuz-2.2.12-20smp
  label=linux-mp
  initrd=/boot/initrd-2.2.12-20smp.img
  read-only
  root=/dev/sda6
image=/boot/vmlinuz-2.2.12-20
  label=linux-up
  initrd=/boot/initrd-2.2.12-20.img
  read-only
  root=/dev/sda6
other=/dev/hda1
  label=nt
</screen>

          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Quelques explications à propos du contenu de mon fichier 
            <literal>/etc/lilo.conf</literal>. Après avoir installé 
            Windows&nbsp;NT sur le <emphasis>premier</emphasis> disque, 
            j'ai nommé ce disque <literal>C:</literal>. Après avoir 
            libéré assez d'espace après la partition NTFS, j'ai laissé 
            le programme d'installation de Linux se charger du 
            partitionnement restant. Bien que Linux soit censé supporter 
            quatre partitions principales par disque, il semble que le 
            programme d'installation de Linux crée une partition étendue 
            dès qu'il rencontre une partition principale sur un disque. 
            Si on considère que ces partitions principales 
            <quote>virtuelles</quote> devraient être nommées /dev/sda1 
            &hellip; /dev/sda4 (y compris, bien entendu, la partition 
            étendue), la partition étendue devrait être /dev/sda4. En 
            suivant ce raisonnement, la première partition logique de la 
            partition étendue est /dev/sda5 (dans mon cas, c'était la 
            partition /boot qui était physiquement la première à partir 
            du début du <emphasis>premier</emphasis> disque dur). Ainsi, 
            les partitions /root et /swap sont, respectivement, 
            /dev/sda6 et /dev/sda7. Vous verrez probablement une ligne 
            <quote>root=/dev/sda6</quote> qui traduit cela. Cette fois 
            encore, Lilo a été copié dans le MBR et tout a fonctionné 
            correctement.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Vous pourriez vous demander&nbsp;: que se passe-t-il si j'ai 
            plusieurs disques durs dans mon ordinateur&nbsp;? Bonne 
            question. Vous savez, moi aussi j'ai 
            <emphasis>quatre</emphasis> disques SCSI et, bien sûr, j'ai 
            essayé d'installer Linux dans le deuxième, puis dans le 
            troisième et finalement dans le quatrième. Dans chacun des 
            cas (le programme d'installation de Linux ne s'est jamais 
            plaint), lors de la fin de l'installation et après avoir 
            redémarré l'ordinateur pour la dernière fois, Lilo s'est 
            arrêté après <quote>LI</quote> et j'ai été obligé de 
            redémarrer l'ordinateur. En fin de compte, je me suis aperçu 
            qu'un problème devait se poser avec les disques trop 
            éloignés du MBR qui est situé au début du 
            <emphasis>premier</emphasis> disque dur. C'est pourquoi je 
            conseille de mettre aussi bien NT que Linux sur le 
            <emphasis>premier</emphasis> disque. Une fois qu'ils sont 
            installés, on peut sans problème rendre les autres disques 
            visibles (et utilisables) par les deux systèmes 
            d'exploitation. J'espère que votre 
            <emphasis>premier</emphasis> disque est assez grand pour 
            contenir les deux systèmes d'exploitation (NT exige environ 
            150&nbsp;Mo, pour Linux, cela dépend de ce que vous 
            choisissez&nbsp;: pour une station de travail Gnome ou KDE, 
            il faut environ 580&nbsp;Mo, mais pour une installation 
            personnalisée, il faut plus de 1,4&nbsp;Go). Cela signifie 
            que le <emphasis>premier</emphasis> disque d'environ 
            2,4&nbsp;Go devrait convenir.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Vous pourriez aussi vous demander&nbsp;: d'accord, mais 
            pourrais-je réduire ma partition NT de façon à libérer de 
            l'espace au début du disque&nbsp;? En fait, je me rappelle 
            l'avoir essayé et installé en premier une station de travail 
            Gnome (395 paquets, 570&nbsp;Mo). Pendant l'installation 
            tout semblait bien fonctionner, mais Lilo n'avait pas été 
            installé et la disquette d'amorçage n'avait pas été créée. 
            Comme vous pouvez le deviner, Linux n'a pas fonctionné. J'ai 
            ensuite essayé d'installer la station de travail KDE (377 
            paquets, 582&nbsp;Mo) au même endroit. Une fois encore, tout 
            semblait marcher, mais Lilo n'avait pas été installé et la 
            disquette d'amorçage n'avait pas été créée. Pour en trouver 
            la cause, j'ai examiné la structure de toutes les partitions 
            existantes. J'ai été surpris de constater que les partitions 
            <emphasis>logiques</emphasis> nouvellement créées (à 
            l'intérieur des nouvelles partitions 
            <emphasis>étendues</emphasis>) portaient le même numéro que 
            si elles étaient situées physiquement 
            <emphasis>après</emphasis> la partition NT&nbsp;! En 
            d'autres termes, je me suis retrouvé avec un ordre 
            étrange&nbsp;: /dev/sda5, /dev/sda6, /dev/sda7 puis, pour 
            finir, /dev/sda1. Le système était quelque peu embrouillé. 
            C'est pourquoi j'ai considéré qu'il était préférable de 
            libérer de l'espace disque <emphasis>après</emphasis> la ou 
            les partitions NT existantes.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            En ce qui concerne deux images Linux similaires (seul 
            <quote>smp</quote> diffère). Le matériel est de type serveur 
            avec un support multiprocesseur. Le programme d'installation 
            <quote>intelligent</quote> a analysé le matériel et m'a 
            proposé le choix entre un fonctionnement mono et 
            multiprocesseur. Quoiqu'il en soit je n'ai toujours qu'une 
            seule unité centrale.
            
            </para>
          </listitem>
        </itemizedlist>
      </para>
    </sect2>
  </sect1>

  <sect1>
    <title>
    
    Mise à niveau de Windows NT vers Windows&nbsp;2000
    
    </title>
    
    <para>
      
      <emphasis>En réalité, il ne s'agit pas véritablement d'une mise à 
      niveau d'un NT <emphasis>fonctionnel</emphasis> vers 2000, mais 
      d'une réinstallation complète de Windows&nbsp;2000 Professionnel. 
      J'espère que cela fonctionnera aussi pour les autres versions de 
      Windows&nbsp;2000. À ce jour, je n'ai pas essayé les installations 
      de type serveur mais je ne me souviens pas avoir rencontré de 
      problèmes avec NT pour les installations de type serveur ou 
      station de travail.</emphasis>
      
    </para>
    <para>
      <itemizedlist>
        <listitem>
          <para>
          
          Tout d'abord, il faut sauvegarder les données 
          importantes&nbsp;! Je le fais en réservant une partition de 
          type Windows sur le disque dans laquelle je copie ou déplace 
          mes textes, dessins, etc. Cette partition ne sera 
          <emphasis>pas</emphasis> affectée par l'installation. Une fois 
          la sauvegarde effectuée, on peut installer Windows&nbsp;2000.
          
          </para>
        </listitem>
        <listitem>
          <para>
          
          À chaque fois que j'installe ou que je réinstalle une version 
          de Windows&nbsp;NT, je lui réserve une partition bien nette. 
          Pour cela, je supprime la partition existante contenant les 
          fichiers systèmes de NT afin de libérer de l'espace 
          ('inutilisé'). Ensuite, je crée une nouvelle partition au 
          format NTFS. Ensuite, j'installe Windows&nbsp;2000 dans cette 
          partition.
          
          </para>
        </listitem>
        <listitem>
          <para>
          
          Le programme d'installation de Windows&nbsp;2000 supprime Lilo 
          du MBR. Ainsi, lors des redémarrages en cours d'installation, 
          Lilo n'apparaît pas.
          
          </para>
        </listitem>
        <listitem>
          <para>
          
          Lorsque l'installation de Windows&nbsp;2000 est terminée, vous 
          pouvez réinstaller vos applications favorites et restaurer les 
          données sauvegardées. C'est le moment de vérifier que tout ce 
          qui concerne Windows fonctionne correctement.
          
          </para>
        </listitem>
        <listitem>
          <para>
          
          Jusque là, tout va bien. Il faut maintenant s'occuper de la 
          disquette d'amorçage Linux. Si vous l'avez perdue vous n'avez 
          pas de chance. En réalité je ne suis pas certain que tous les 
          Linux puissent, actuellement, être activés sans disquette 
          d'amorçage. Certains <emphasis>gourous</emphasis> de Linux 
          proposent d'amorcer Linux à partir du CD d'installation, mais 
          je ne suis pas certain que cela soit réalisable si vous ne 
          possédez pas de lecteur de CD-ROM 
          <emphasis>amorçable</emphasis>, et donc pas de BIOS moderne. 
          Des commentaires seraient les bienvenus&nbsp;!
          
          </para>
        </listitem>
        <listitem>
          <para>
          
          Lorsque vous avez démarré Linux, il faut vérifier à nouveau le 
          fichier <literal>/etc/lilo.conf</literal>. Il devrait contenir 
          au moins deux options&nbsp;: Linux et NT. Si l'option 
          nécessaire au démarrage de Windows est absente, il faut 
          l'ajouter. La manière de procéder est décrite ci-dessus. Il 
          faut ensuite lancer la commande 
          <emphasis>/sbin/lilo</emphasis> pour copier le chargeur Lilo 
          dans le MBR.
          
          </para>
        </listitem>
        <listitem>
          <para>
          
          Voila, c'est terminé. Lorsque vous redémarrerez votre 
          ordinateur, Lilo s'affichera. À l'aide de la touche 
          &lt;TAB&gt; vous aurez accès aux options d'amorçage.
          
          </para>
        </listitem>
        <listitem>
          <para>
          
          En ce qui me concerne, tout s'est bien passé. Bien que j'ai 
          <emphasis>supprimé</emphasis> les installations précédentes de 
          Windows&nbsp;NT avant d'installer Windows 2000 et que j'ai 
          également <emphasis>perdu</emphasis> temporairement le 
          chargeur de Lilo, en fin de compte, j'ai récupéré les deux 
          systèmes d'exploitation, Windows 2000 et Linux, comme je 
          l'avais fait pour Windows&nbsp;NT et Linux.
          
          </para>
        </listitem>
      </itemizedlist>
    </para>
  </sect1>
  <sect1>
    <title>Installation de Windows&nbsp;2000 <emphasis>en plus</emphasis> de Linux et de Windows&nbsp;98</title>
    <para>
    
      <emphasis>Remarque&nbsp;: lorsque je dis <quote>en plus de Linux 
      et de Windows&nbsp;98</quote>, cela signifie que Linux et 
      Windows&nbsp;98 fonctionnent <emphasis>déjà</emphasis> ensemble et 
      qu'ils ont été installés <emphasis>avant</emphasis> de prendre la 
      décision de rajouter Windows&nbsp;2000. Une des machines que 
      j'utilise au travail fonctionne sous Linux et Windows&nbsp;98. Les 
      deux sont amorçables à l'aide de Lilo.</emphasis>
      
    </para>
    <para>
    
    En réalité il n'est pas vraiment difficile d'installer 
    Windows&nbsp;2000 sur un ordinateur qui fonctionne déjà avec une 
    autre version de Windows. Dans mon cas il s'agit de 
    Windows&nbsp;98&nbsp;; j'insère simplement le CD de Windows 2000 
    dans le lecteur. Lorsqu'il s'est aperçu qu'une ancienne version de 
    Windows était présente sur mon ordinateur, il m'a proposé de mettre 
    cette version à niveau vers Windows&nbsp;2000 ou de faire une 
    installation complète de Windows&nbsp;2000. Au début, j'ai essayé de 
    mettre à niveau la version de 98 vers 2000 afin d'obtenir une 
    configuration très semblable à celle que j'avais chez moi (voir 
    ci-dessus). Cependant, des problèmes de compatibilité entre le 
    matériel et le logiciel sont apparus (certains composants ne 
    fonctionnaient plus correctement lorsque je faisais seulement une 
    mise à niveau).
    
    </para>

    <para>
    
    C'est pourquoi j'ai décidé d'essayer une installation 
    <quote>complète</quote> de Windows&nbsp;2000, <emphasis>en 
    plus</emphasis> de Windows&nbsp;98 et de Linux. Heureusement j'avais 
    récemment installé un nouveau disque dur dans mon ordinateur, aussi, 
    il n'a pas été nécessaire de modifier le premier disque où 
    résidaient Windows&nbsp;98 et Linux. En réalité, j'ai été conduit à 
    ajouter un nouveau disque car le premier était presque plein. Si 
    j'avais voulu installer le troisième système d'exploitation sur le 
    premier disque, il aurait fallu libérer beaucoup d'espace. Lorsque 
    le programme d'installation de Windows&nbsp;2000 m'a proposé le 
    choix du disque, je lui ai dit de prendre le deuxième, de le 
    repartitionner, de le formater en NTFS (pour mémoire, 
    Windows&nbsp;98 était en FAT et Linux en ext2).
    
    </para>

    <para>
    
    L'installation de Windows&nbsp;2000 a pris environ une heure. 
    Pendant l'installation, l'ordinateur a été redémarré deux fois. 
    Quand il a redémarré la première fois, je me suis demandé s'il 
    allait réécrire le MBR qui contient LILO (j'ai décrit ci-dessus 
    comment le programme d'installation de Windows pouvait réécrire le 
    MBR). Curieusement, il ne l'a pas fait cette fois-ci, le message 
    <quote>LILO boot</quote> s'est correctement affiché. Mais une chose 
    <emphasis>nouvelle</emphasis> est apparue après LILO&nbsp;: le 
    chargeur de Windows&nbsp;2000 qui, lui-même, a proposé de charger, 
    non seulement Windows&nbsp;2000, mais, en plus, un autre 
    <quote>Windows</quote> (il s'agissait en fait de mon ancien 
    Windows&nbsp;98).
    
    </para>

    <para>
    
    En réalité, selon le système d'exploitation que je souhaite 
    démarrer, la procédure est légèrement différente, mais tout reste 
    facile. Aucun problème. Ainsi&nbsp;:    
    
    </para>

    <para>
      <itemizedlist>
        <listitem>
          <para>
          
          Si je souhaite démarrer Linux, LILO est alors le 
          <quote>carrefour</quote>. Dans ce cas, il faut choisir 
          l'entrée <quote>Linux</quote> ou la mettre par défaut dans le 
          fichier <literal>/etc/conf.lilo</literal>&nbsp;;
          
          </para>
        </listitem>
        <listitem>
          <para>
          
          Si je souhaite démarrer Windows, il faut alors choisir l'autre 
          option proposée par LILO ou la configurer par défaut. Une fois 
          que c'est réalisé, le chargeur de Windows&nbsp;2000 doit 
          s'afficher. À cet instant, deux choix se présentent&nbsp;: 
          Windows&nbsp;2000 et Windows&nbsp;98. Le reste est facile, les 
          deux versions de Windows démarrent sans problème.
          
          </para>
        </listitem>
      </itemizedlist>
    </para>
  </sect1>

  <sect1>
    <title>
    
    Installation de Windows&nbsp;NT ou 2000 et de Linux (RedHat 7.1) sur 
    un portable
    
    </title>
    <sect2>
      <title>
      
      Installation de Windows&nbsp;NT <emphasis>et</emphasis> de 
      Windows&nbsp;2000, en plus de Linux
      
      </title>
      <para>

        <emphasis>Remarque&nbsp;: mes patrons ont décidé, récemment, 
        d'acquérir deux portables HP Omnibook 6000, je me suis précipité 
        sur ces nouveaux gadgets. C'était une série équipée de Pentium 3 
        à 1&nbsp;GHz et de 128&nbsp;Mo de mémoire vive. Ils comportent 
        également un disque dur de 30&nbsp;Go, un lecteur de DVD 
        extractible, un lecteur de disquette, une batterie 
        supplémentaire qui est insérée à l'emplacement du disque 
        extractible (lorsque celui-ci est vide) et une carte duale 
        Réseau/Modem.</emphasis>

      </para>
      <para>
        <itemizedlist>
          <listitem>
            <para>
            
            Les portables ont été livrés avec Windows&nbsp;2000 
            Professionnel pré installé&nbsp;; j'ai pensé qu'il serait 
            bien de reformater le disque et de repartir de zéro. Il me 
            semble que j'ai à nouveau utilisé Partition Magic de Power 
            Quest pour cela. En réalité, j'ai 
            <emphasis>effacé</emphasis> toutes les partitions existantes 
            car je me suis aperçu de l'existence d'une petite partition, 
            située au début du disque dur, qui m'intriguait (j'ai 
            appris, par la suite, qu'elle servait à l'hibernation et aux 
            diagnostics).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Ensuite, j'ai essayé de reproduire une procédure que j'aime 
            particulièrement&nbsp;: créer deux partitions FAT (d'environ 
            2037&nbsp;Mo) pour contenir Windows&nbsp;NT et 
            Windows&nbsp;2000. Si vous voulez vraiment savoir pourquoi 
            j'utilise cet ancien format FAT &mdash; c'est simplement 
            pour être sûr que tout programme d'installation de Windows 
            reconnaîtra ce type de partition et, aussi, pour être 
            certain qu'il sera possible (si nécessaire) d'échanger des 
            fichiers entre les divers systèmes d'exploitation. En plus 
            de ces partitions FAT (qui commencent, bien sûr, au début du 
            disque), j'ai également créé plusieurs partitions FAT mais, 
            cette fois, à partir de la fin du disque. Partition Magic 
            permet de le faire (les types de Power Quest pourraient peut 
            être m'envoyer un ou deux cents pour cette publicité en 
            faveur de leur produit :-)
            
            </para>

            <para>
            
            Vous allez peut être me demander pourquoi on doit créer un 
            espace libre entre les deux. La réponse est&nbsp;: afin de 
            permettre à la partition <emphasis>/boot</emphasis> de Linux 
            de résider avant la limite bien connue du cylindre 1024. En 
            ce qui concerne la zone consécutive (celle pour laquelle 
            vous saisissez 1025, 1026, etc.) cela n'a pas d'importance. 
            Cela signifie que vous pouvez y placer la partition 
            <emphasis>/</emphasis> (root) de Linux (quelque soit sa 
            taille et sa structure), et également utiliser l'espace 
            restant pour la zone d'échange entre Windows et Linux 
            (c'est-à-dire FAT).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Jusque là, tout va bien. J'insère donc le disque 
            d'installation de NT et je suis la procédure (il faut 
            veiller à utiliser un CD d'installation de Windows <quote>du 
            commerce</quote> et <emphasis>pas</emphasis> celui livré 
            avec l'Omnibook 6000, car celui-ci sert à 
            <quote>restaurer</quote> une installation de NT, y compris 
            la partition d'hibernation). Nous verrons ci-dessous 
            pourquoi une telle partition n'est pas souhaitable.
            
            </para>
            
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Une fois Windows&nbsp;NT installé, le moment était venu 
            d'insérer le CD d'installation de Windows&nbsp;2000 (encore 
            une fois, n'utilisez pas les CD de 2000 livrés avec 
            l'ordinateur). Ainsi, l'ordinateur fonctionnant sous NT, 
            j'ai installé 2000 dans la partition suivante (en réalité, 
            seule la première partie de l'installation est effectuée 
            sous NT, mais c'est bien ainsi). Une fois l'installation 
            terminée, vous avez deux Windows &mdash; dans les deux 
            premières partitions.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Tout semble bien fonctionner, à l'exception des diagnostics. 
            Ils peuvent être activés à l'aide de la touche F10 à 
            l'amorçage <emphasis>si</emphasis> les CD de restauration de 
            NT ont été utilisés. À ce propos, la restauration de NT 
            résulte en une partition encore plus grande (environ 
            500&nbsp;Mo). Ce n'est pas tout&nbsp;: cette partition 
            semble être une partition principale. Cela signifie que vous 
            pourriez être à court de partitions principales, au cas ou 
            vous souhaiteriez installer plusieurs systèmes 
            d'exploitation. De toutes façons, j'ai décidé, en ce qui me 
            concerne, que les diagnostics n'étaient pas très importants 
            et qu'ainsi la touche F10 n'avait plus d'utilité au 
            démarrage :-)
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Il ne faut pas oublier de mentionner que le chargeur de 
            Windows&nbsp;2000 devrait offrir le choix entre NT et 2000 
            au démarrage si vous avez bien suivi cette procédure (au cas 
            où vous ne souhaiteriez pas avoir NT et 2000 à la fois, vous 
            pouvez passer directement à la section suivante).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            C'est alors que je me mets en quête d'un CD d'installation 
            de Linux. Le premier (au cas où il y en aurait un second) 
            doit être inséré dans le lecteur de DVD (ou de CD) et 
            l'ordinateur doit être redémarré. Comme d'habitude, une à 
            deux secondes après le redémarrage de l'ordinateur, il faut 
            presser la touche <literal>ÉCHAP</literal>, une ou deux 
            fois, afin de modifier l'ordre de lecture des disques 
            d'amorçage (cette fois-ci, il faut bien sûr choisir CD/DVD)
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Le reste de l'installation de Linux se passe comme 
            d'habitude. N'oubliez pas de créer une disquette d'amorçage 
            de Linux à la fin de l'installation (on ne sait jamais quand 
            on va en avoir besoin).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Voilà donc toute l'histoire. Si tout se passe bien, au 
            prochain démarrage de votre ordinateur, vous devriez vous 
            retrouver sous Linux. Ne soyez pas surpris de ne plus voir 
            votre cher chargeur Windows. Il vous faut simplement 
            consulter un autre super document Linux, appelé <ulink 
            url="&howto;LILO.html">Petit guide de LILO</ulink> Vous y 
            trouverez des informations plus précises concernant le 
            fonctionnement de <emphasis>LILO</emphasis> <foreignphrase 
            lang="en">(Linux Loader)</foreignphrase>.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Si vous trouvez cela plus facile, lisez, ci-dessus, les 
            pages correspondantes, au chapitre <quote>Mise à niveau de 
            Windows&nbsp;NT vers Windows&nbsp;2000</quote>.
            
            </para>
          </listitem>
        </itemizedlist>
      </para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Installation de Windows&nbsp;2000 seul et de Linux.</title>
      <para>
      
        <emphasis>Remarque&nbsp;: tout ce que j'ai décrit à la section 
        précédente se traduit par un système à amorçage multiple (ou, 
        plus exactement, à triple amorçage). Lorsque je veux démarrer 
        sous Linux, je dois effectuer ce choix à partir du menu de LILO. 
        Lorsque je souhaite démarrer l'un des Windows, je dois choisir 
        Windows (ou DOS ou autre) à partir du menu de LILO. Peu après, 
        s'affiche le chargeur de Windows&nbsp;2000. Finalement, on peut 
        démarrer sous NT ou sous 2000. Par la suite, j'ai décidé 
        d'installer Norton System Works de Symantec dans les deux 
        environnements Windows. J'ai réussi à le faire, mais il semble 
        que, par la suite, j'ai lancé une commande qui a modifié quelque 
        chose de très important dans la configuration. En résumé, par la 
        suite, je n'ai plus été capable de faire fonctionner aucun des 
        Windows correctement. Il était vraiment temps de réinstaller le 
        tout.</emphasis>
        
      </para>
      <para>
        <itemizedlist>
          <listitem>
            <para>
            
            Cette fois-ci, j'ai décidé d'utiliser un des CD de 
            restauration qui étaient livrés avec le portable. Je dois 
            admettre que j'ai bien aimé, en fond de plan, le magnifique 
            logo bleu <quote>HP&nbsp;invent</quote> ainsi que 
            <quote>Produit par Hewlett Packard</quote> dans les 
            propriétés de <quote>Mon ordinateur</quote>. (Là, les gens 
            de HP devraient m'envoyer quelques cents pour cette 
            publicité <literal>:-)</literal> ).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            L'utilisation des CD de restauration vous permettront 
            d'éviter la longue procédure d'installation de NT/2000 parce 
            qu'ils dupliquent ou, si vous préférez, 
            <quote>clonent</quote> l'image du CD sur le disque dur, ce 
            qui est très rapide. En plus, la partition 
            hibernation/diagnostics est créée par défaut. Et, pour 
            finir, quelques uns des utilitaires HP ne peuvent être 
            installés qu'à l'aide des CD de restauration.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Ainsi, après 6 à 7 minutes, NT (ou W2K) est installé, prêt à 
            fonctionner. De la même façon que pour les CD d'installation 
            <quote>du commerce</quote> (cités à la section précédente), 
            c'est le moment de redémarrer l'ordinateur à l'aide d'un CD 
            d'installation de Linux.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Le reste de l'installation de Linux se passe comme 
            d'habitude. N'oubliez pas de créer une disquette d'amorçage 
            de Linux à la fin de l'installation (on ne sait jamais quand 
            on va en avoir besoin).
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Voilà toute l'histoire. Si tout se passe bien, au prochain 
            démarrage de votre ordinateur, vous devriez vous retrouver 
            sous Linux. Ne soyez pas surpris de ne plus voir votre cher 
            chargeur Windows. Il vous faut simplement consulter un autre 
            super document Linux, appelé <ulink 
            url="&howto;LILO.html">Petit guide de LILO</ulink>. Vous y 
            trouverez des informations plus précises concernant le 
            fonctionnement de <emphasis>LILO</emphasis> <foreignphrase 
            lang="en">(Linux Loader)</foreignphrase>.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Si vous trouvez cela plus facile, lisez, ci-dessus, les 
            pages correspondantes, au chapitre <quote>Mise à niveau de 
            Windows&nbsp;NT vers Windows&nbsp;2000</quote>
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Il est certain que la vie serait vraiment plus facile sans 
            les problèmes qui résultent d'une simple 
            <quote>tolérance</quote> entre les mondes Windows et Linux. 
            Il est possible que j'ai fait une autre erreur quelque part 
            dans le cyberespace, mais dès que j'ai fini l'installation 
            de Linux &mdash; plus précisément de RedHat 7.1 (on est 
            aujourd'hui le 4 mai 2002 et je n'ai toujours pas de 
            distribution meilleure ni plus récente. Un don des lecteurs, 
            peut être&nbsp;&hellip;&nbsp;?), je me suis rendu compte que 
            F10, 
            au démarrage de l'ordinateur, ne permettait plus de lancer 
            les diagnostiques de HP. En réalité, qu'on presse F10 ou 
            non, l'Omnibook 6000 affiche directement l'écran graphique 
            de LILO. <emphasis>Avant</emphasis> l'installation de Linux, 
            les diagnostics fonctionnaient sans aucun problème.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Pour information, lors du démarrage suivant de 
            Windows&nbsp;2000, le gestionnaire de disques a reconnu les 
            partitions suivantes sur le disque&nbsp;:
            
            </para>
            <para>
              <informaltable>
                <tgroup cols="5">
                  <colspec colsep="0" colwidth="1*"  align="left"/>
                  <colspec colsep="0" colwidth="4*"  align="left"/>
                  <colspec colsep="0" colwidth="5*"  align="left"/>
                  <colspec colsep="0" colwidth="8*"  align="left"/>
                  <colspec colsep="0" colwidth="4*"  align="left"/>
                  <tbody>
                    <row>
                      <entry></entry>
                      <entry>Taille</entry>
                      <entry>Format</entry>
                      <entry>Libellé</entry>
                      <entry>Type</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>1</entry>
                      <entry>15&nbsp;Mo</entry>
                      <entry>FAT</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>principale</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>2</entry>
                      <entry>7,30&nbsp;Go</entry>
                      <entry>FAT32</entry>
                      <entry>HPNOTEBOOK C:</entry>
                      <entry>principale</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>3</entry>
                      <entry>52&nbsp;Mo</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>principale</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>4</entry>
                      <entry>18,37&nbsp;Go</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>Logique</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>5</entry>
                      <entry>258&nbsp;Mo</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>Logique</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>6</entry>
                      <entry>1,96&nbsp;Go</entry>
                      <entry>Espace libre</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>-</entry>
                    </row>
                  </tbody>
                </tgroup>
              </informaltable>
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>De son côté, Partition Magic voit le découpage suivant&nbsp;:</para>
            <para>
              <informaltable>
                <tgroup cols="5">
                  <colspec colsep="0" colwidth="1*"  align="left"/>
                  <colspec colsep="0" colwidth="4*"  align="left"/>
                  <colspec colsep="0" colwidth="5*"  align="left"/>
                  <colspec colsep="0" colwidth="8*"  align="left"/>
                  <colspec colsep="0" colwidth="4*"  align="left"/>
                  <tbody>
                    <row>
                      <entry></entry>
                      <entry>Taille in MB</entry>
                      <entry>Format</entry>
                      <entry>Libellé</entry>
                      <entry>Type</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>1</entry>
                      <entry>14,7</entry>
                      <entry>FAT</entry>
                      <entry>sauvegarde</entry>
                      <entry>principale</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>2</entry>
                      <entry>7.471,4</entry>
                      <entry>FAT32</entry>
                      <entry>HPNOTEBOOK</entry>
                      <entry>principale</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>3</entry>
                      <entry>51.7</entry>
                      <entry>ext2</entry>
                      <entry>/boot</entry>
                      <entry>principale</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>4</entry>
                      <entry>21.077,9</entry>
                      <entry>étendue</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>principale</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>5</entry>
                      <entry>18.811,4</entry>
                      <entry>ext2</entry>
                      <entry>/</entry>
                      <entry>Logique</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>6</entry>
                      <entry>258,4</entry>
                      <entry>swap</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>Logique</entry>
                    </row>
                    <row>
                      <entry>7</entry>
                      <entry>2.008,1</entry>
                      <entry>espace libre</entry>
                      <entry>-</entry>
                      <entry>Logique</entry>
                    </row>
                  </tbody>
                </tgroup>
              </informaltable>
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Quelques explication à propos des tableaux ci-dessus&nbsp;: 
            il est évident que la partition diagnostics, créée lors de 
            la <quote>restauration</quote> de Windows&nbsp;2000, est 
            plutôt petite &mdash; environ 15&nbsp;Mo (en comparaison de 
            la partition créée lors de la restauration de 
            Windows&nbsp;NT qui peut aller jusqu'à 500&nbsp;Mo). Malgré 
            cela, il s'agit d'une partition 
            <emphasis>principale</emphasis>. Cela signifie que vous 
            devez être conscient du nombre de partitions principales que 
            comporte votre système. Je n'en suis pas certain 
            actuellement, mais c'est peut être une des raisons pour 
            lesquelles les outils de diagnostics ne sont plus 
            disponibles lorsque toutes les opérations d'installation 
            sont terminées.
            
            </para>

            <para>
            
            Ensuite, vous pouvez voir que j'ai réduit la partition FAT32 
            de Windows&nbsp;2000 (environ 7,5&nbsp;Go) afin d'obtenir 
            suffisamment d'espace libre pour Linux.
            
            </para>

            <para>
            
            Je conseille de laisser le programme d'installation de Linux 
            transformer l'espace libre en partitions. Ce que je veux 
            dire, c'est qu'il n'est pas nécessaire de préparer 
            manuellement les partitions Linux. Comme vous pouvez le 
            voir, à partir des tableaux, la partition boot occupe 
            environ 50&nbsp;Mo, la partition swap occupe environ deux 
            fois la taille de la mémoire vive (2 x 128 = 256&nbsp;Mo) et 
            le reste est occupé par les autres partitions Linux. 
            L'espace libre restant est probablement le résultat de la 
            conversion des différents formats des systèmes de fichiers.
            
            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Voici le résultat&nbsp;: Linux fonctionne, Windows 
            fonctionne également. Il n'y a plus de diagnostics. 
            L'hibernation (sous Windows) n'a pas encore été testée. À 
            première vue, la carte duale 3Com réseau et modem n'est pas 
            entièrement compatible Linux. En réalité, le réseau semble 
            fonctionner, mais le modem est un <quote>winmodem</quote>. 
            Personne ne sait si HP va faire quelque chose pour résoudre 
            ce problème. Tout ce que je peux dire est qu'il faut éviter 
            l'Omnibook 6000 si le modem est une fonction essentielle. 
            Bien entendu vous pourriez dépenser quelques euros et 
            acheter une autre mini-carte PCI comportant une puce modem 
            supportée. En plus, l'écran 15" de HP offre un magnifique 
            affichage avec une résolution allant jusqu'à 1400 x 1050 et 
            des couleurs sur 16 bits. Il est intéressant de remarquer 
            que cette résolution semble être sélectionnée <emphasis>par 
            défaut</emphasis> par Windows&nbsp;2000 et qu'elle est 
            également facile à configurer sous Linux (RedHat 7.1). Il y 
            a aussi un pavé tactile plutôt <quote>hyper sensible</quote> 
            qui simule souvent un clic gauche de la souris. Il semble 
            que cela soit une caractéristique commune aux installations 
            de Windows et de Linux. Cela m'ennuie parfois, mais cela 
            vous conviendra peut être.

            </para>
          </listitem>
          <listitem>
            <para>
            
            Je prévois ensuite de convertir la partition FAT32 en NTFS 
            afin d'obtenir un sous système Windows plus fiable. D'un 
            autre coté, la partition principale de Linux (root) devrait 
            être réduite afin de libérer de l'espace. Cet espace libre 
            sera utilisé plus tard pour l'échange de fichiers entre les 
            deux systèmes d'exploitation (ce sera probablement une 
            partition FAT).
            
            </para>
          </listitem>
        </itemizedlist>
      </para>
    </sect2>
  </sect1>
  <sect1>
    <title>
    
    Installation de Mandrake Linux 9.1 sur des produits HP
    
    </title>
    
    <para>2003-11-19</para>
    
    <sect2>
      <title>
      
      Descriptions des produits utilisés pour cette expérience
      
      </title>
      <para>
      
        <emphasis>Remarque&nbsp;: cette partie n'est 
        <emphasis>PAS</emphasis> de la publicité pour les produits HP, 
        en aucune façon&nbsp;! En réalité, plusieurs ordinateurs de 
        cette marque, que j'utilise, comportent des alimentations ainsi 
        que des disques durs défectueux. D'un autre coté, les batteries 
        des portables se vident plus vite que prévu. Ces problèmes mis à 
        part, les ordinateurs HP sont plutôt biens.</emphasis>
        
      </para>
      <para>
        <emphasis>HP Omnibook 6000</emphasis>
      </para>
      <para>
      
      Un ordinateur portable Omnibook 6000 est équipé d'un lecteur de 
      DVD amorçable. J'ai inséré un DVD-ROM amorçable comportant le 
      programme d'installation de Linux Mandrake 9.1. Lors du démarrage 
      du portable à l'aide de ce DVD amorçable, le menu d'installation 
      s'affiche directement et l'utilisateur peut choisir la langue pour 
      le reste de l'installation.
      
      </para>
      <para>
        <emphasis>HP Vectra VL420 (utilisé comme serveur)</emphasis>
      </para>
      <para>
      
      À l'inverse, un HP Vectra VL420 ne comporte pas de lecteur de DVD 
      (il ne possède qu'un lecteur de CD), ainsi, l'installation directe 
      à partir de ce DVD d'installation n'est pas possible. Il est 
      cependant <emphasis>possible</emphasis> de créer une disquette 
      amorçable permettant de démarrer la procédure d'installation. En 
      réalité, il existe plusieurs images amorçables destinées aux 
      utilisateurs qui ne possèdent pas de lecteurs de DVD (amorçables 
      ou non). Une de ces images est de type réseau. Cela signifie qu'il 
      doit exister, sur le réseau local, un serveur NFS, FTP ou HTTP à 
      partir duquel se fera l'installation.
      
      </para>
      <para>
        <emphasis>HP Vectra VL420 (utilisé comme station de travail)</emphasis>
      </para>
      <para>
      
      J'utilise également un autre ordinateur VL420 qui possède un 
      disque dur supplémentaire qui vient d'une installation précédente 
      d'un serveur Windows&nbsp;2000 (en réalité, ce disque IDE a été 
      enlevé de l'autre ordinateur, où il était utilisé comme disque 
      principal, et placé dans celui-ci où il sert de disque secondaire 
      pour la sauvegarde des données). L'intérêt est qu'il comporte des 
      serveurs HTTP et FTP installés (utilisables, bien sûr, si 
      l'ordinateur démarre à partir de ce disque). C'était intéressant 
      car je pouvais désormais utiliser un de ces serveurs. D'un autre 
      coté, ce Vectra VL420 particulier a été utilisé pour installer une 
      version de Linux de type station de travail (cette fois-ci, en 
      utilisant le premier disque dur &mdash; qui comporte 
      Windows&nbsp;2000 professionnel).
      
      </para>
    </sect2>
    <sect2>
      <title>Procédure d'installation</title>
      <para>
        <emphasis>Amorçage système du portable</emphasis>
      </para>
      <para>Comme expliqué ci-dessus, le portable comporte un lecteur de DVD amorçable, 
       donc tout est dit.</para>
      <para>
        <emphasis>Amorçage système des ordinateurs de bureau</emphasis>
      </para>
      <para>
      
      J'ai donc créé une disquette amorçable <quote>réseau</quote> et 
      démarré le premier Vectra VL420 (destiné à être un serveur Linux) 
      à partir de celle-ci. Après quelques instants, le choix de la 
      méthode d'installation a été proposé (serveur NFS, FTP ou HTTP). 
      Au début, j'ai voulu utiliser le deuxième serveur HTTP <quote>de 
      rechange</quote> sur l'autre Vectra, mais, quelque soit la 
      permission que j'ai donnée au groupe d'utilisateurs 
      <quote>tous</quote> de Windows, le programme d'installation de 
      Linux a toujours affiché le message suivant&nbsp;:
      
      </para>

      <para>
      
      Erreur&nbsp;: Fichier introuvable&hellip; (ou quelque chose 
      d'équivalent)
      
      </para>

      <para>
      
      J'ai ensuite essayé d'utiliser le serveur FTP <quote>de 
      rechange</quote> à partir du deuxième Vectra et, au début, il a 
      également demandé des adresses IP, locale et distante. Cette 
      fois-ci il a réussi à charger une partie des fichiers Linux 
      distants en mémoire sans se plaindre. Peu après, il est arrivé au 
      même point que l'Omnibook 6000&nbsp;: il a affiché directement le 
      menu d'installation, proposant à l'utilisateur le choix de la 
      langue d'installation.
      
      </para>

      <para>
      
      &gt; À partir de cet instant, la procédure d'installation a été 
      pratiquement identique&hellip;
      
      </para>

      <para>J'ai choisi ou confirmé les éléments suivants&nbsp;:</para>
      
      <itemizedlist>
      
      <listitem><para>
      
      Langue, en plus de l'anglais (américain) par défaut, j'ai ajouté 
      unicode et serbe (à la fois en alphabet cyrillique et 
      latin)&nbsp;; une souris et un clavier&nbsp;; un niveau de 
      sécurité &mdash; j'ai accepté les choix par défaut&nbsp;: 
      <quote>Normal</quote> pour le portable et <quote>Élevé</quote> 
      pour le serveur&nbsp;;
      
      </para>

      <para>
      
      La tâche suivante importante a été le choix d'une des options de 
      partitionnement de <emphasis>DrakX</emphasis>&nbsp;:
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Pour le portable, j'ai choisi <quote>Utiliser l'espace libre de la 
      partition Windows</quote> car le portable possède un disque IDE et 
      je souhaitais en utiliser une partie pour Linux (en plus de 
      Windows&nbsp;2000 Professionnel déjà installé). Le gestionnaire de 
      disque de Windows a affiché&nbsp;:
      
      </para>

<screen>
Disk 0 15 Mo FAT (Diagnostiques HP ou équivalent)
       7,13 Go FAT32 (C: "HPNOTEBOOK")
       20,80 Go Free space
</screen>

      <para>
      
      Les deux partitions (FAT et FAT32) avaient été créées au cours de 
      la procédure d'installation, à l'aide des CD d'installation 
      fournis par HP.
      
      </para>

      <para>
      
      Au départ, le programme d'installation de Linux s'est plaint du 
      fait que la partition Windows <quote>était trop fragmentée</quote> 
      et il m'a obligé à redémarrer sous Windows, à lancer l'utilitaire 
      de défragmentation et à redémarrer l'installation de Linux 
      Mandrake. La procédure de défragmentation a pris environ une heure 
      et demie&nbsp;! Lorsque j'ai relancé le programme d'installation 
      il a voulu utiliser la partition Windows de 7,13&nbsp;Go au lieu 
      de celle de 20,80&nbsp;Go. J'ai alors choisi <quote>Utiliser 
      l'espace libre</quote>. Il a ensuite créé les partitions pour 
      Linux&nbsp;: /dev/hda5 et /dev/hda7.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Pour le Vectra VL420 j'ai choisi <quote>Partitionnement 
      personnalisé du disque</quote>, parce que, cette fois-là, j'avais 
      deux disques SCSI, l'un comportant Windows&nbsp;2000 serveur, et 
      l'autre que je voulais utiliser intégralement pour un serveur 
      Linux. À ce propos, je ne savais pas ce que l'option 
      <quote>Effacer entièrement le disque</quote> allait faire lors de 
      la prochaine étape (effacer l'ensemble du disque ou seulement une 
      partition), bien que ce soit peut être la bonne solution. 
      <emphasis>DrakX</emphasis> a reconnu les deux disques SCSI comme 
      <emphasis>sda</emphasis> et <emphasis>sdb</emphasis>&nbsp;; j'ai 
      alors choisi <emphasis>sdb</emphasis> pour l'installation de 
      Linux. La première étape a été <quote>effacer tout</quote> et 
      ensuite <quote>allouer automatiquement</quote> de l'espace sur ce 
      deuxième disque. Finalement après <quote>Terminer</quote> il a 
      créé les partitions Linux /dev/sdb1 et /dev/sdb6.
      
      </para></listitem>
            
      </itemizedlist>
      
      <para>
        <emphasis>Sélection des groupes de paquetages</emphasis>
      </para>
      <para>

      Par défaut, le programme d'installation de Mandrake 9.1 propose 
      l'installation des paquetages suivants&nbsp;:
      
      </para>
      
      <itemizedlist>

      <listitem><para>
        Station de travail Office
      </para></listitem>
      
      <listitem><para>
        Station de travail Internet
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Station de travail KDE
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Station de travail Gnome
      </para></listitem>

      </itemizedlist>

      <para>
      
      Soit, au total, 1010/5267 (pour le portable) et 1066/5265 (pour le 
      serveur).
      
      </para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
      
      Pour le portable j'ai choisi tout ce qui était proposé, sauf 6 
      éléments <quote>serveur</quote> (1708/5265),
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Pour le serveur j'ai choisi tout ce qui était proposé, y compris 6 
      éléments <quote>serveur</quote> (1708/5265).
      
      </para></listitem>
      </itemizedlist>

      <para>
      
      J'ai ensuite obtenu des informations concernant le choix des 
      serveurs (?) suivants sur le portable&nbsp;:
      
      </para>

      <para>cups, postfix, rwho, webmin</para>

      <para>Et pour le serveur&nbsp;:</para>

      <para>
      
      cups, openssh-server, postfix, proftpd, rwho, webmin, ypserv, bind 
      and nfs-utils.
      
      </para>

      <para>
      
      Bien qu'incertain à propos des <quote>serveurs</quote> devant être 
      installés sur un portable, j'ai accepté tous ces choix, en 
      considérant qu'ils étaient nécessaires à l'installation des autres 
      paquetages.
      
      </para>

      <para>L'installation a commencé&hellip;</para>

      <para>
      
      Il est intéressant d'observer que, bien que l'installation sur le 
      portable ait été réalisée directement à partir du lecteur de DVD, 
      l'installation des paquetages a été beaucoup plus rapide sur le 
      serveur. Je suppose que cela était dû à la différence de 
      performances entre les disques SCSI du serveur et les disques IDE 
      du portables.
      
      </para>

      <para>
      
      Une fois cette étape terminée, après avoir saisi un mot de passe 
      pour root, le programme d'installation a demandé de <quote>saisir 
      un nom d'utilisateur</quote> (un utilisateur ordinaire). La 
      différence entre l'installation du portable et celle du serveur 
      est que, pour ce dernier, le programme proposait des fonctions 
      supplémentaires pour l'utilisateur (ordinaire)&nbsp;:
      
      </para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
        Accès aux outils de compilation (ctools).
      </para></listitem>
      
      <listitem><para>
        Accès aux outils rpm (rpm).
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Accès aux programmes X (xgrp).
      </para></listitem>
      
      <listitem><para>
        Accès aux outils réseau (ntools).
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Accès aux fichiers d'administration (adm).
      </para></listitem>
      
      <listitem><para>
        Autorisation de <quote>su</quote> (wheel).
      </para></listitem>
      
      </itemizedlist>

      <para>
      
      &hellip; et cela devrait être identique pour d'autres (nouveaux) 
      utilisateurs.
      
      </para>

      <para>
      
      Ensuite, le portable a suggéré de configurer l'ordinateur pour 
      qu'un utilisateur soit automatiquement connecté. Je n'ai pas 
      accepté cette solution car je voulais que 
      <emphasis>chaque</emphasis> utilisateur saisisse un mot de passe 
      pour se connecter au système.
      
      </para>

      <para>
      
      De son coté, le programme d'installation du serveur a sauté cette 
      étape particulière et a demandé de choisir l'endroit 
      d'installation du chargeur. J'ai choisi d'utiliser le 
      <quote>premier secteur du disque (MBR)</quote>.
      
      </para>

      <para>
      
      Peu après, un écran <quote>résumé</quote> a été affiché, me 
      permettant de régler finement l'installation. J'ai modifié les 
      éléments suivants&nbsp;:
      
      </para>

      <variablelist spacing="compact">
      
      <varlistentry>
      <term>Fuseau horaire</term>
      <listitem><para>
      Belgrade (les deux ordinateurs)
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Interface graphique</term>
      <listitem><para>
      
        (signalée comme <quote>non configurée</quote> sur le 
        portable&nbsp;? J'ai essayé <quote>Écran plat 1400 x 
        1050</quote> parce que cette résolution fonctionne bien avec 
        Windows, Serveur X&nbsp;: Rage mobility, XFree 4.3 et 16 
        millions de couleurs &mdash; 24 bits). Sur le portable j'ai 
        choisi de lancer Xfree au démarrage. Sur le serveur, il 
        proposait 800 x 600 &mdash; car il avait reconnu un moniteur 
        Samsung SyncMaster 510(M)s (CHA5807*) et une carte ATI Rage 128 
        et 65.000 couleurs sur 16 bits.
      
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Carte son</term>
      <listitem><para>
        
        pour le portable, ESS Technology|ES1983S Maestro-3i|PCI Audio et 
        pour le serveur, Intel Corporation|ICH2 810 Chipset AC'97 Audio 
        Controller.
        
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Réseau</term>
      <listitem><para>
      
        avec <quote>Utiliser la détection automatique</quote>. 

        </para>
        <para>

        Résultats&nbsp;: sur le portable, il a reconnu <quote>connexion 
        au réseau local &mdash; carte(s) Ethernet 
        détectées</quote>&nbsp;; sur le serveur, il n'a rien reconnu. 

        </para>
        <para>

        Aussi, sur le serveur, j'ai choisi de configurer 
        <quote>connexion au réseau local</quote>.
        
        </para>
        <para>

        Les pilotes sont&nbsp;: 3c59x (portable), eepro100 (serveur). 

        </para>
        <para>

        Les adresses IP pour le portable et pour le serveur.

        </para>
        <para>

        Nom de l'hôte&nbsp;: portable, serveur, passerelle&nbsp;:
                
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Pare-feu</term>
      <listitem><para>
        désactivé (défaut).
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Chargeur</term>
      <listitem><para>
      
        Lilo graphique sur /dev/hda (portable)
        
        </para>
        <para>
        
        Lilo graphique sur /dev/sda (serveur)
        
        </para>
        <para>

        Démarrage par défaut&nbsp;:
        
        </para>
        <para>

        Windows sur /dev/hda2 (portable)

        </para>
        <para>

        Windows sur /dev/sda1 (serveur)
            
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Services</term>
      <listitem><para>

        32 activés sur 47 enregistrés (portable)
        
        </para>
        <para>
        
        24 activés sur 60 enregistrés (serveur)
  
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      </variablelist>

      <para>Peu après &hellip;</para>
      <para>
        <literal>Félicitations, l'installation est terminée.</literal>
      </para>
      <para>(redémarrage)</para>
      <para>
        <emphasis>Résultats de l'installation</emphasis>
      </para>
      <para>
      
      Lors du redémarrage suivant, sous Windows, un écran est 
      apparu&nbsp;: <quote>Modification des paramètres du 
      système</quote>&nbsp;: Windows&nbsp;2000 a installé de nouveaux 
      périphériques. Vous devez redémarrer votre ordinateur afin que les 
      nouveaux paramètres soient pris en compte. Voulez vous redémarrer 
      votre ordinateur maintenant&nbsp;? J'ai accepté.
            
      </para>
      <para>
      
      Le gestionnaire de disque de Windows a affiché les nouvelles 
      partitions Linux&nbsp;:
      
      </para>

<screen>
- portable : 5,85 Go   Fonctionnel \
Disque 0     495 Mo    Fonctionnel - ces trois-ci sont des disques
             14,46 Go  Fonctionnel / logiques de la partition étendue

- serveur :   5,85 Go Fonctionnel -  partition principale
Disque 1       494 Mo Fonctionnel \
17,12 Go     10,79 Go Fonctionnel - ces deux-ci sont des disques
                                    logiques de la partition étendue
</screen>

      <para>
      
      Il semble que les partitions <literal>/boot</literal> et 
      <literal>/swap</literal> aient des tailles très similaires, 
      indépendantes de la taille du disque, mais que celles des 
      partitions <literal>/</literal> (root, home, etc.) dépendent de la 
      taille du disque. Il faut noter que pour le portable j'ai utilisé 
      le même disque dur pour Windows et pour Linux (pour Windows 
      7,13&nbsp;Go en FAT32 sur un total de 27,95&nbsp;Go, le reste, 
      soit environ 20&nbsp;Go, étant réservé à Linux).
      
      </para>

      <para> 
      
       Sur le serveur, j'ai deux disques durs, chacun de 17,12&nbsp;Go, 
       j'ai utilisé le disque 0 (le premier) entièrement pour 
       Windows&nbsp;2000 serveur et le disque 1 (le second) entièrement 
       pour Linux.
       
      </para>


      <para>Le premier écran après démarrage sous Linux Mandrake&nbsp;:</para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
      
      Portable&nbsp;: un écran comportant seulement le nom d'un 
      utilisateur (root n'est pas disponible&nbsp;!), et les boutons 
      Redémarrer et Arrêter.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Serveur&nbsp;: un écran comportant <quote>Saisir le nom 
      d'utilisateur</quote>, <quote>Saisir le mot de passe</quote> et 
      <quote>Type de session</quote> (aucun nom d'utilisateur n'est 
      affiché)
      
      </para></listitem>
      
      </itemizedlist>

      <para>Assistant initial&nbsp;: KDE par défaut (les deux)</para>

      <para>&hellip;</para>

      <para>Résultats de l'action Ctrl-Alt-Suppr&nbsp;:</para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
      
      Portable&nbsp;: un écran comportant <quote>Terminer la session 
      de <replaceable>nom d'utilisateur</replaceable></quote>. Quelle 
      action souhaitez vous effectuer&nbsp;? Connexion sous un autre nom 
      d'utilisateur, Arrêt de l'ordinateur, Redémarrage de l'ordinateur, 
      ainsi que les boutons Confirmer et Annuler.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Serveur&nbsp;: un écran comportant <quote>Terminer la session de 
      <replaceable>nom d'utilisateur</replaceable></quote>, ainsi que 
      les boutons Déconnexion et Annulation.
      
      </para></listitem>

      </itemizedlist>

      <para>
      
      Après avoir choisi <quote>connexion</quote> sous différents noms 
      d'utilisateurs (sur le portable), ou <quote>déconnexion</quote> 
      (sur le serveur), sont apparus les mêmes écrans que ceux décrits 
      ci-dessus à la section <quote>premier écran lors du démarrage de 
      Linux Mandrake</quote>.
      
      </para>

      <para>
      
      Si vous souhaitez obtenir des informations supplémentaires sur 
      LILO (<emphasis>Li</emphasis>nux <emphasis>Lo</emphasis>ader), qui 
      a été configuré comme programme de démarrage des ordinateurs 
      décrits ci-dessus, reportez-vous au <ulink 
      url="&howto;LILO.html">Petit guide de LILO</ulink>.
      
      </para>

      <para>
        <emphasis>HP Vectra VL420 (client station de travail &mdash; bureau)</emphasis>
      </para>

      <para>
      
      Comme indiqué ci-dessus, le HP Vectra VL420 ne possède pas de 
      lecteur de DVD (seulement un lecteur de CD), ainsi, l'installation 
      à partir du DVD n'était pas possible. Cependant il était possible 
      de créer une disquette d'amorçage. En réalité il existe plusieurs 
      images d'amorçage destinées aux utilisateurs qui ne possèdent pas 
      de lecteurs de DVD (amorçable ou non). Une de ces images était une 
      <quote>image réseau</quote>. Cela signifie que, sur le réseau 
      local, il doit exister un serveur NFS, FTP ou HTTP à partir duquel 
      l'installation peut s'effectuer. Comme expliqué ci-dessus, un 
      serveur Windows&nbsp;2000 (celui que j'ai utilisé précédemment 
      pour l'installation du serveur Mandrake Linux) comporte des 
      serveurs HTTP et FTP installés. Ainsi, j'ai pu utiliser l'un 
      d'entre eux.
      
      </para>

      <para>
      
      J'ai ainsi utilisé la disquette d'amorçage <quote>réseau</quote> 
      pour démarrer le Vectra VL420. Après quelques instants, le choix 
      de la méthode d'installation a été proposé (serveur NFS, FTP ou 
      HTTP). Pour commencer, j'ai essayé d'utiliser le serveur HTTP 
      mais, quelque soit la permission que j'ai donnée au groupe 
      d'utilisateurs Windows <quote>tous</quote>, le programme 
      d'installation de Linux a toujours affiché le message&nbsp;: 
      Erreur&nbsp;: fichier introuvable&hellip;
      
      </para>

      <para>
      
      J'ai ensuite essayé d'utiliser le serveur FTP (à partir du même 
      serveur Windows) qui a également demandé les adresses IP, locale 
      et distante. Il a ensuite commencé à charger une partie des 
      fichiers distants en mémoire. Peu après, il est arrivé au même 
      point que l'Omnibook 6000&nbsp;: le menu d'installation s'est 
      affiché, demandant de choisir la langue.
      
      </para>

      <para>
      
      &gt; À partir de cet instant, la procédure d'installation a été 
      pratiquement identique&hellip;
      
      </para>

      <para>J'ai choisi ou confirmé les éléments suivants&nbsp;:</para>

      <itemizedlist>
      
      <listitem><para>
      
      langue &mdash; en plus de l'anglais (américain) j'ai choisi 
      Unicode et Serbe, à la fois en cyrillique et en latin&nbsp;;

      </para></listitem>

      <listitem><para>

      une souris et un clavier&nbsp;;
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>

      niveau de sécurité &mdash; <quote>normal</quote> par défaut.

      </para></listitem>

      </itemizedlist>

      <para>
      
      Le choix important, par la suite, a été le type de partitionnement 
      de DrakX&nbsp;:
      
      </para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
      
      Au début j'ai choisi <quote>Utiliser l'espace libre de la 
      partition Windows</quote> car il possède un seul disque IDE et je 
      souhaitais qu'il en utilise une partie pour Linux (conjointement 
      avec Windows&nbsp;2000 Pro déjà installé).
      
      </para>

      <para>
      
      Dès le départ, le programme d'installation de Linux s'est plaint 
      du fait que la partition Windows était trop fragmentée et a 
      demandé de redémarrer sous Windows, de lancer l'utilitaire de 
      défragmentation puis de relancer l'installation de Mandrake Linux. 
      À la fin de la défragmentation, j'ai essayé, à nouveau, 
      <quote>utiliser l'espace libre de la partition Windows</quote>, 
      mais il voulait simplement réduire la partition Windows d'environ 
      30&nbsp;Go à environ 28&nbsp;Go. J'ai alors utilisé le programme 
      Partition Magic pour la réduire à environ 20&nbsp;Go afin de 
      libérer plus d'espace pour Linux.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      J'ai ensuite essayé <quote>partitionnement de disque 
      personnalisé</quote>, j'ai choisi le premier disque IDE (hda) de 
      27&nbsp;Go et sélectionné <quote>Redimensionner</quote>. Cette 
      option n'était pas la bonne car elle permettait seulement 
      d'augmenter la taille de la partition Windows au lieu de la 
      réduire. J'ai finalement choisi <quote>Utiliser l'espace 
      libre</quote> et il a créé automatiquement les partitions Linux. 
      En réalité, ce Vectra possède deux disques IDE, l'un comportant 
      Windows&nbsp;2000 serveur et l'autre Windows&nbsp;2000 Pro, c'est 
      ce dernier que je voulais utiliser en partie pour installer Linux. 
      Après sélection de l'option <quote>Terminer</quote>, le programme 
      a créé les partitions /dev/hda5 et /dev/hda7.
      
      </para></listitem>

      </itemizedlist>

      <para>
        <emphasis>Sélection des groupes de paquetages</emphasis>
      </para>
      <para>
      
      Par défaut, le programme d'installation de Mandrake propose les 
      paquetages suivants&nbsp;:
      
      </para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
        Station de travail Office
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Station de travail Internet
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Station de travail KDE
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Station de travail Gnome
      </para></listitem>

      </itemizedlist>

      <para>

        Soit, au total, 1009/5105 (pour le client).
        
      </para>

      <itemizedlist>
      <listitem><para>
      
      Pour le client j'ai ajouté tout le reste sauf 6 éléments 
      <quote>serveur</quote> (1638/5105).
      
      </para></listitem>
      
      </itemizedlist>

      <para>
      
      J'ai ensuite obtenu des informations concernant le choix des 
      serveurs suivants sur le client&nbsp;:
      
      </para>

      <para>cups, postfix, rwho, webmin</para>

      <para>J'ai accepté ces choix.</para>

      <para>L'installation a démarré&hellip;</para>

      <para>
      
      Une fois cette étape terminée et après avoir saisi un mot de passe 
      pour root, le programme d'installation a demandé de <quote>saisir 
      un nom d'utilisateur</quote> (un utilisateur ordinaire). La 
      différence entre l'installation du client et celle du serveur est 
      que, pour ce dernier, des fonctions supplémentaires étaient 
      proposées pour l'utilisateur&nbsp;:
      
      </para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
        Accès aux outils de compilation (ctools).
      </para></listitem>
      
      <listitem><para>
        Accès aux outils rpm (rpm).
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Accès aux programmes X (xgrp).
      </para></listitem>
      
      <listitem><para>
        Accès aux outils réseau (ntools).
      </para></listitem>

      <listitem><para>
        Accès aux fichiers d'administration (adm).
      </para></listitem>
      
      <listitem><para>
        Autorisation de <quote>su</quote> (wheel).
      </para></listitem>
      
      </itemizedlist>

      <para>
      
      &hellip; et cela devrait être identique pour les autres (nouveaux) 
      utilisateurs.
      
      </para>

      <para>
      
      Ensuite le client a suggéré de <quote>configurer l'ordinateur pour 
      qu'un utilisateur soit automatiquement connecté</quote>. Je n'ai 
      pas accepté cette solution car je voulais que 
      <emphasis>chaque</emphasis> utilisateur saisisse un mot de passe 
      pour se connecter au système.
      
      </para>

      <para>
      
      Peu après, un écran <quote>résumé</quote> a été affiché permettant 
      de régler finement l'installation. J'ai modifié les éléments 
      suivants&nbsp;:
      
      </para>

      <variablelist spacing="compact">
      
      <varlistentry>
      <term>Fuseau horaire</term>
      <listitem><para>
      Belgrade
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Interface graphique</term>
      <listitem><para>
      
        il proposait 1280 x 1024 à cause d'un moniteur et d'une carte 
        NVIDIA GeForce2 DDR (générique), 24 bits et 16 millions de 
        couleurs.
      
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Carte son</term>
      <listitem><para>
        
        Intel Corporation|ICH2 810 Chipset AC'97 AudioController.
        
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Réseau</term>
      <listitem><para>
      
        avec <quote>Utiliser la détection automatique</quote>. 

        </para>
        <para>

        Résultats&nbsp;: il n'a rien reconnu. Aussi, j'ai choisi de 
        configurer <quote>connexion au réseau local</quote>.
        
        </para>
        <para>
        
        Le pilote est: eepro100.
        
        </para>
        <para>

        Les adresses IP.
                
        </para>
        <para>

        Nom de l'hôte&nbsp;: client, passerelle&nbsp;:

      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Pare-feu</term>
      <listitem><para>
        désactivé (défaut).
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Chargeur</term>
      <listitem><para>

        Lilo graphique sur /dev/hda
        
        </para>
        <para>
        
        Lilo graphique sur /dev/sda (serveur)
        
        </para>
        <para>

        Démarrage par défaut&nbsp;: Windows sur /dev/hda1
        
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      <varlistentry>
      <term>Services</term>
      <listitem><para>

        32 activés sur 47 enregistrés (comme pour le portable)
        
      </para></listitem>
      </varlistentry>

      </variablelist>

      <para>Peu après&hellip;</para>
      <para>
        <literal>Félicitations, l'installation est terminée.</literal>
      </para>
      <para>(redémarrage)</para>
      <para>
        <emphasis>Résultats de l'installation (ensemble des trois systèmes)</emphasis>
      </para>

      <variablelist spacing="compact">

      <varlistentry>
      <term>options du portable</term>
      <listitem><para>
      
      windows, linux, connexion de secours, disquette&nbsp;;

      </para></listitem>
      </varlistentry>
      <varlistentry>
      <term>options du client</term>
      <listitem><para>
      
      windows, linux, linux-nonfb, connexion de secours, windows2, 
      disquette&nbsp;;

      </para></listitem>
      </varlistentry>
      <varlistentry>
      <term>options du serveur</term>
      <listitem><para>
      
      windows, linux, linux-nonfb, linux-securisé, connexion de secours.

      </para></listitem>
      </varlistentry>
      </variablelist>

      <para>Remarques&nbsp;:</para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
      
      L'option windows2 pour le client correspond en réalité à 
      Windows&nbsp;2000 Serveur qui est installé sur le deuxième disque 
      dur.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Je ne sais pas exactement pourquoi l'option de démarrage en mode 
      texte <quote>linux-nonfb</quote> n'est pas disponible pour le 
      portable, alors que Linux semble démarrer précisément dans ce mode 
      (c'est peut être dû aux caractéristiques de l'écran LCD du 
      portable ou à quelque chose de similaire). D'un autre coté, les 
      différences entre le client et le serveur concernent la disquette 
      et le démarrage de Linux en mode sécurisé (peut être pour des 
      raisons de sécurité).
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      L'option <quote>Linux-sécurisé</quote> pour le serveur est peut 
      être le résultat du choix d'un niveau <quote>élevé</quote> de 
      sécurité effectué au début de l'installation, ou peut-être 
      existe-t-il des fonctionnalités de sécurité spécifiques aux 
      serveurs.
      
      </para></listitem>

      </itemizedlist>

      <para>
      
      Lors du redémarrage suivant, sous Windows, est apparu un 
      écran&nbsp;: <quote>Modification des paramètres du 
      système</quote>&nbsp;: Windows&nbsp;2000 a installé de nouveaux 
      périphériques. Vous devez redémarrer votre ordinateur pour que les 
      nouveaux paramètres soient pris en compte. Voulez vous redémarrer 
      votre ordinateur maintenant&nbsp;? J'ai accepté.
      
      </para>

      <para>
      
      Le gestionnaire de disque de Windows a affiché les nouvelles 
      partitions Linux (comparaison des trois installations)&nbsp;:
      
      </para>

<screen>
- portable : 5,85 Go     Fonctionnel \
Disk 0       495 Mo      Fonctionnel - Les trois sont des disques logiques
27,95 Go     14,46 Go    Fonctionnel / de la partition étendue

- client :   5,68 Go     Fonctionnel \
Disk 0       494 Mo      Fonctionnel - Les trois sont des disques logiques
37,28 Go     3,52Go      Fonctionnel / de la partition étendue (comme 
                                       pour le portable)

- serveur :  5,85 Go     Fonctionnel - partition principale
Disk 1       494 Mo      Fonctionnel \
17,12 Go     10,79 Go    Fonctionnel - ces deux sont des disques logiques
                                       de la partition étendue
</screen>

      <para>
      
      Il semble que les partitions <literal>/boot</literal> et 
      <literal>/swap</literal> aient des tailles très similaires, 
      indépendantes de la taille du disque, mais que les partitions 
      <literal>/</literal> (root, home, etc.) dépendent de la taille du 
      disque. Il faut noter que pour le client j'utilise le même disque 
      dur de 37,28&nbsp;Go pour Windows et pour Linux (pour Windows 
      27,60&nbsp;Go en NTFS sur un total de 37,28&nbsp;Go, le reste, 
      soit environ 10&nbsp;Go, étant réservé à linux).
      
      </para>

      <para>
      
      Le serveur possède deux disques durs, chacun de 17,12&nbsp;Go, le 
      disque 0 (le premier) est entièrement utilisé pour 
      Windows&nbsp;2000 serveur et le disque 1 (le deuxième) entièrement 
      pour Linux. C'est pour cette raison que le programme 
      d'installation de Mandrake alloue moins d'espace à / sur un disque 
      de plus grande capacité (en réalité, pour le serveur il a alloué 
      relativement plus d'espace pour / bien que le disque soit plus 
      petit, car ce disque est entièrement dédié à Linux).
      
      </para>

      <para>
      
      Écran affiché lors du premier démarrage de Mandrake Linux&nbsp;:
      
      </para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
      
      Portable&nbsp;: un écran comportant seulement le 
      nom d'un 
      utilisateur (root n'est pas disponible&nbsp;!) 
      ainsi que les boutons Redémarrer et Arrêter.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Client&nbsp;: un écran comportant seulement le nom d'un 
      utilisateur (root n'est pas disponible&nbsp;!) ainsi que les 
      boutons Redémarrer et Arrêter.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Serveur&nbsp;: un écran comportant <quote>Saisir le nom 
      d'utilisateur</quote>, <quote>Saisir le mot de passe</quote> et 
      <quote>Type de session</quote> (aucun nom d'utilisateur n'est 
      affiché mais il est possible de se connecter également en tant que 
      root&nbsp;!)
      
      </para></listitem>

      </itemizedlist>

      <para>Assistant initial&nbsp;: KDE par défaut (client, comme pour les autres)</para>

      <para>Les écrans KDE du client et du serveur sont différents&nbsp;: le client VL420 montre 
      le CD-ROM monté sur /mnt/cdrom et la disquette montée sur /mnt/floppy alors que 
      le serveur (qui possède pourtant le même type de périphériques&nbsp;!) ne les montre pas. 
      De plus, si un disque flash est connecté à un port USB <emphasis>avant</emphasis> que Linux ne démarre, 
      une icône le représentant sera affichée. Il est intéressant de noter que cela ne 
      se produit pas pour le serveur. Je pense qu'il s'agit encore une fois des différences 
      entre les programmes d'installation de Mandrake Linux de type client et serveur, ou 
      peut être s'agit-il de mesures de sécurité spécifiques aux installations de type 
      serveur. Quoi qu'il en soit, c'est, à mon avis, un manque de confort pour les 
      utilisateurs des serveurs Mandrake Linux. Au cas où vous, cher lecteur, connaîtriez 
      des moyens de contournement, votre contribution serait la bienvenue&nbsp;!</para>

      <para>De plus, pour le client, à partir du panneau KDE il est possible de lancer 
      le <quote>Centre de contrôle Mandrake &mdash; outil de configuration du système</quote> (qui 
      n'est cependant utilisable qu'avec les privilèges de root), alors que pour 
      le serveur cette possibilité n'existe pas. (en réalité un utilisateur <quote>ordinaire</quote> 
      peut lancer ce même outil en passant par le menu Démarrer les applications et 
      l'utiliser après avoir saisi le mot de passe de root). Je me demande pourquoi 
      cela a été fait ainsi chez Mandrake. Peut être voulaient-ils éviter que des 
      utilisateurs <quote>ordinaires</quote> n'aient accès aussi facilement à des outils de 
      configurations&hellip;</para>

      <para>&hellip;</para>

      <para>À propos de Ctrl-Alt-Suppr&nbsp;:</para>

      <itemizedlist>

      <listitem><para>
      
      Portable&nbsp;: un écran <quote>terminer la session de 
      <replaceable>nom d'utilisateur</replaceable></quote> Quelle action 
      voulez vous réaliser&nbsp;? Connexion sous un autre nom 
      d'utilisateur, Arrêter l'ordinateur, Redémarrer l'ordinateur, 
      ainsi que les boutons Confirmer et Annuler.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Client&nbsp;: un écran <quote>terminer la session de 
      <replaceable>nom d'utilisateur</replaceable></quote> Quelle action 
      voulez vous réaliser&nbsp;? Connexion sous un autre nom 
      d'utilisateur, Arrêter l'ordinateur, Redémarrer l'ordinateur, 
      ainsi que les boutons Confirmer et Annuler.
      
      </para></listitem>

      <listitem><para>
      
      Serveur&nbsp;: un écran <quote>terminer la session de 
      <replaceable>nom d'utilisateur</replaceable></quote> ainsi que les 
      boutons <quote>Déconnexion</quote> et <quote>Annuler</quote>.
      
      </para></listitem>

      </itemizedlist>

      <para>
      
      Après connexion sous un nom d'utilisateur différent, est apparu le 
      même écran que celui décrit à la section <quote>premier démarrage 
      sous Mandrake</quote>.
      
      </para>

      <para>
      
      Si vous souhaitez obtenir des informations complémentaires à 
      propos de LILO <foreignphrase lang="en">(Linux 
      Loader)</foreignphrase>, qui a été configuré pour être utilisé au 
      démarrage des ordinateurs décrits ci-dessus, reportez vous au 
      <ulink url="&howto;LILO.html">Petit guide de LILO</ulink>.
      
      </para>

      <para>
      
      Il existe également une différence de comportement entre le 
      serveur et le client en ce qui concerne l'arrêt du système. Un 
      utilisateur du client est capable d'arrêter le système, y compris 
      à partir de l'écran de connexion (non disponible pour le serveur), 
      alors que, pour le serveur, il est nécessaire de connaître le mot 
      de passe de root.
      
      </para>

    </sect2>
    <sect2>
      <title>Problèmes divers avec l'installation de Linux Mandrake 9.1</title>

      <para>
      
      Une disquette d'amorçage réseau devrait être capable d'accéder à 
      des fichiers d'installation Mandrake situés, non seulement sur des 
      serveurs NFS, FTP ou HTTP, mais également sur des disques partagés 
      d'ordinateurs reliés au réseau local. Lorsque qu'une image est 
      appelée image <quote>réseau</quote>, selon moi, tous les 
      emplacements réseau devraient être accessibles, PAS seulement les 
      emplacements spécifiques de type serveur, tels que des serveurs 
      NFS, FTP ou HTTP. En réalité, si un utilisateur du réseau local 
      n'a pas accès à des serveurs NFS, FTP ou HTTP, mais s'il possède 
      des paquetages d'installation à un endroit quelconque du réseau, 
      il devrait lui être possible d'avoir accès à ces paquetages.
      
      </para>

      <para>
      
      Les installations de type station de travail ne permettent pas 
      d'accéder au compte root à partir de l'écran graphique de 
      connexion (je suppose que les commandes <quote>su</quote> ou 
      <quote>sudo</quote> sont accessibles, je ne les ai pas encore 
      essayées). Cela pourrait poser un problème si un utilisateur a mal 
      configuré son compte et si l'administrateur doit se connecter pour 
      résoudre le problème. Pour l'instant, je ne sais pas comment un 
      administrateur pourrait le faire s'il n'a pas la possibilité de se 
      connecter en tant que root (peut être en utilisant des consoles 
      virtuelles en mode texte, accessibles à l'aide des touches 
      CTRL-ALT-F1, CTRL-ALT-F2, &hellip; puis en lançant le mode 
      graphique si nécessaire, etc.)
      
      </para>

      <para>
      
        <emphasis>Quelques problèmes <emphasis>après</emphasis> 
        l'installation de Linux Mandrake 9.1</emphasis>
      
      </para>

      <para>
      
      En ce qui concerne le comportement de Mandrake 9.1 &mdash; relatif 
      aux différents types d'installation (station de travail ou 
      combinaison de station de travail et de serveur) &mdash; il semble 
      exister quelques différences supplémentaires. Comme indiqué 
      ci-dessus, sur le bureau d'une station de travail, il existe des 
      icônes pour les lecteurs de CD et de disquette (bien qu'ils ne 
      soient pas forcément déjà <emphasis>montés</emphasis> lors du 
      démarrage de l'ordinateur). De façon similaire, si un disque flash 
      est connecté au port USB, il existe également une icône de disque 
      USB <emphasis>sda</emphasis> (SCSI&nbsp;?). En revanche, pour les 
      installations de type station de travail ou serveur, aucune de ces 
      icônes n'est présente. Il semble que les installations de type 
      serveur considèrent qu'il est préférable de se passer de ce type 
      de périphériques dans le cas d'un serveur. Tout commentaire serait 
      le bienvenu.
      
      </para>

      <para>
      
      En ce qui concerne l'écriture et le test des petits guides, je 
      préfère les écrire à l'aide d'un éditeur de texte et leur donner 
      l'extension <literal>.sgml</literal>. J'utilise ensuite le bon 
      vieil outil <literal>sgml2html</literal> pour créer les pages HTML 
      afin de vérifier leur apparence. Ceci fonctionne sous RedHat 7.1 
      mais sous Mandrake 9.1 il me semble que cet outil n'est pas 
      disponible. Une idée pour résoudre ce problème&nbsp;?
      
      </para>

    </sect2>
  </sect1>

  <sect1>
    <title>Linux en plus de Windows&nbsp;2000 et de Windows&nbsp;XP</title>
    <para>2005-10-09</para>

    <para>
    
      <emphasis>Récemment, mon disque dur est tombé en panne, et mon 
      système vieux de plus d'un an comportant Linux et 
      Windows&nbsp;2000 s'est évanoui. En considérant ce qu'il convenait 
      d'installer sur un nouveau disque, j'ai décidé d'essayer Linux en 
      plus de Windows&nbsp;2000 et de Windows&nbsp;XP.</emphasis>
      
    </para>

    <para>
    
    En résumé, le nouveau disque avait une taille de 40&nbsp;Go, j'en ai 
    consacré la moitié (20&nbsp;Go) à une partition NTFS pour 
    Windows&nbsp;XP. Elle est devenue le disque <literal>C:</literal>. 
    la deuxième partition de 10&nbsp;Go au format FAT32 est devenue le 
    disque <literal>D:</literal> de Windows&nbsp;2000. Comme d'habitude, 
    il faut recommencer l'installation des produits Microsoft à de 
    nombreuses reprises &mdash; avant qu'ils ne commencent à se 
    comporter comme vous le souhaitez. Pour être plus précis, il semble 
    que Windows&nbsp;2000 doive être installé <emphasis>avant</emphasis> 
    Windows&nbsp;XP pour qu'il fasse partie des systèmes d'exploitation 
    proposés au démarrage de Windows&nbsp;XP (Si je me souviens bien, 
    j'ai essayé l'inverse qui n'a pas fonctionné).
    
    </para>

    <para>
    
    J'ai ensuite utilisé les 10&nbsp;Go restant pour installer Mandrake 
    9.1 (Bamboo) ce que j'ai réussi à faire sans problèmes &mdash; le 
    seul problème mineur est apparu lors d'un essai d'installation de 
    type disque alors que les fichiers Linux devaient être situés dans 
    une partition NTFS car le programme d'installation de Linux n'a pas 
    réussi à placer les fichiers d'installation dans cette partition. 
    (c'est pour cette raison que j'ai installé Windows&nbsp;2000 dans un 
    système de fichier FAT32 &mdash; car je pouvais l'utiliser ensuite 
    pour l'installation de type disque de Mandrake 9.1).
    
    </para>

    <para>
    
    Jusque là, tout va bien. Une des fonctionnalités principales que je 
    voulais avoir dans les trois environnements était le client de 
    messagerie. Vous le devinez, une nouvelle solution open source était 
    disponible&nbsp;: la suite Mozilla. Pour les systèmes d'exploitation 
    Windows j'ai utilisé Mozilla 1.7.11 et pour Linux Mozilla 1.6 (une 
    ancienne version xft &mdash; je n'ai pas réussi à en installer de 
    plus récente). Et comme d'habitude, en ce qui me concerne, je 
    voulais qu'elles se partagent toutes les mêmes fichiers de 
    messagerie, c'est-à-dire que je voulais être capables de lire mes 
    courriers entrants quelque soit le système d'exploitation sous 
    lequel fonctionne l'ordinateur.
    
    </para>

    <para>
    
    Pour que cela soit possible, j'ai choisi Mozilla sous 
    Windows&nbsp;2000 (FAT32) comme lieu central de sauvegarde des 
    fichiers de messagerie. Cela signifie que j'ai dû modifier les deux 
    autres configurations Mozilla afin qu'elles puissent avoir accès en 
    lecture et en écriture au premier emplacement de messagerie (FAT32). 
    Pour Linux, voici ce que j'ai fait&nbsp;:
    
    </para>

    <para>J'ai remplacé l'emplacement initial natif Linux&nbsp;:
    
<screen>
/home/misko/.mozilla/default/fydeba98.slt/Mail/solair.eunet.yu
</screen>

    Par celui-ci, monté sur&nbsp;:

<screen>
/mnt/win_d/Documents and Settings/misko/Application Data/Mozilla/Profiles/default/oeu1tmbd.slt/Mail/solair.eunet.yu
</screen>
    
</para>
    <para>
    
    À la suite de cette modification, il est désormais possible de 
    télécharger les messages entrants sous un système, de les lire sous 
    un autre système et, finalement de répondre ou d'écrire sous le 
    troisième système. Le seul inconvénient mineur est que chaque 
    système d'exploitation est susceptible de se <quote>souvenir</quote> 
    uniquement du dernier état connu des répertoires de messagerie. Afin 
    de rafraîchir l'état des répertoires de messagerie, l'utilisateur 
    doit cliquer sur le nom de la boite aux lettres. Une autre solution 
    est d'activer l'option <quote>Compacter tous les 
    répertoires&hellip;</quote>.
    
    </para>

    <para>
    
    Ce que je souhaite faire, maintenant, est de continuer à mettre à 
    jour les trois Mozilla (au moins l'ancienne version qui fonctionne 
    sous Mandrake). Je me demande si je pourrais en utiliser une version 
    ordinaire (au lieu de xft) - bien que je me souvienne que les 
    versions ordinaires plus anciennes produisaient des polices 
    horribles sous l'environnement Linux. Je ne suis pas certain que la 
    situation se soit améliorée.
    
    </para>

    <para>
    
    La tâche suivante la plus importante est d'installer un des 
    programmes de radioamateur les plus populaires, également open 
    source, appelé LinFBB (FBB pour Linux). Vous pourrez obtenir des 
    renseignements plus précis sur ce logiciel dans un autre guide 
    pratique Linux&nbsp;: le <ulink 
    url="http://tldp.org/HOWTO/FBB.html">Guide pratique FBB</ulink>.
    
    </para>

  </sect1>

  <sect1>
    <title>Bibliographie</title>
    <para>2006-07-28</para>
    <para>

      <emphasis> Remarque&nbsp;: je participe souvent à des conférences 
      (inter)nationales sur les TIC en Serbie Monténégro, et à 
      l'étranger, où je présente des documents et fais la démonstration 
      de tutoriels. Je me suis consacré à faire connaître &mdash; dans 
      la mesure du possible &mdash; les idées de bases et l'utilité du 
      radio amateurisme ainsi que la possibilité de son utilisation dans 
      la formation des ingénieurs. Comme vous le devinez, dès que c'est 
      possible, j'encourage mes lecteurs à le faire avec Linux. De plus, 
      j'ai écrit divers articles pour différents magazines, 
      scientifiques ou non. Ci-dessous figure la liste des articles que 
      j'ai écrit et des documents que j'ai soumis aux conférences 
      jusqu'à présent.</emphasis>

    </para>

    <para>
    
    Si vous souhaitez republier ou transmettre mes documents, écrits à 
    titre bénévole, à des journaux ou à d'autres média, n'hésitez pas à 
    me contacter. Parmi ces documents, certains sont écrits en serbe en 
    alphabet cyrillique, certains le sont en anglais et d'autres sont un 
    mélange des deux&nbsp;!
    
    </para>

<screen lang="en">
 
- "U prilog I.A.C.", MI (the youth scientists' organization
   newspaper), No. 69, 1990.

- "U prilog I.A.C. (2)", MI (the youth scientists' organization
   newspaper), No. 70, 1990.

- "Vise od radio-amaterskog hobija", Vojska, No. 163, 1995.

- "Korak ka zvezdama", Vojska, No. 200, 1996.

- "Die Gefahr von Innen - Internet gegen Amateurfunk",
   AMSAT-DL Journal, No. 4, Dez./Feb. 96/97.

- "Kakva nam organizacija (ne) treba?", Radioamater,
   Feb. 1997.

- "Kakva nam organizacija (ne) treba? (2)", Radioamater,
   Apr./May. 1997.

- "Sateliti umiru padajuci", Vojska, No. 235, 1997.

- "The Internet is not the Enemy", QST, Aug. 1998.

- "Novi radio-amateri za novi vek", Antena, June 2000.

- "Racunarske komunikacije putem radio-veza i
   zastita pristupa", Bezbednost, No. 3, 2000.

- "Paket-radio - Racunarske komunikacije putem radio-veza",
   proceedings, "Info-Teh", Vrnjacka Banja, Serbia, 2001.

- "Racunarske komunikacije putem radio-amaterskih veza",
   proceedings, "YU-Info", Kopaonik, Serbia, 2002.

- "Computer Communications over radio", presentation,
  "Linux FEST", Belgrade, Serbia, 2002.

- "Paket-radio - Radio-amaterske digitalne veze",
   proceedings, "Kongres JISA", Herceg Novi, Montenegro, 2002.

- "Paket-radio (2) - Modemi za radio-veze",
   proceedings, "Info-Teh", Vrnjacka Banja, Serbia, 2002.

- "Alternativne racunarske mreze", festival catalog,
  "INFOFEST", Budva, Montenegro, 2002.

- "Alternative computer networks", proceedings, "TELFOR",
   Belgrade, Serbia, 2002.

- "With rule and regulation improvements to the progress"
   proceedings, "TELFOR", Belgrade, Serbia, 2002.

- "Racunarske komunikacije putem radio-amaterskih veza (2)",
   proceedings, "YU-Info", Kopaonik, Serbia, 2003.

- "Racunarske komunikacije putem radio-amaterskih veza (3)",
   proceedings, "YU-Info", Kopaonik, Serbia, 2003.

- "Paket-radio (3) - Programske mogucnosti na strani servera",
   proceedings, "Info-Teh", Vrnjacka Banja, Serbia, 2003.

- "Paket-radio (4) - Legal rules and regulations in the amateur
   computer networks", proceedings, "Info-Teh", Vrnjacka Banja, 
   Serbia, 2003.

- "Packet-radio (2) - With rule and regulation improvements to the progress",
   proceedings, "Kongres JISA", Herceg Novi, Montenegro, 2003.

- "Alternativne racunarske mreze (2)", festival catalog,
  "INFOFEST", Budva, Montenegro, 2003.

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   Info M, 6-7/2003.

- "Legal Rules and Regulations in the Amateur Radio Computer Networks",
   proceedings, "22nd ARRL and TAPR Digital Communications Conference", 
   Hartford, CT USA, 2003.

- "Favoritism", IEEE Potentials, Oct/Nov 2003

- "Alternative computer networks (2)", proceedings, "TELFOR",
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- "Yugoslavia IEEE Student Branch", IEEE Region 8 News,
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- "Radio-amaterske racunarske mreze", tutorial, "Info-Teh", 
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- "Radio-amaterske racunarske mreze", tutorial, "Kongres 
  JISA", Herceg Novi, Montenegro, 2004.

- "The Amateur Radio as a Learning Technology in
  Developing Countries", proceedings, "ICALT/TEDC 2004", 
  Joensuu, Finland, 2004.

- "The Amateur Radio in Engineering Education", seminar, 
  "IEEE-EESTEC Technical Conference 2004", Arcavacata 
  di Rende (Cosenza), Italy, 2004.

- "The Conference Low-Down", IEEE Potentials, Feb/Mar 2005

- "ICALT 2004, IEEE Novi Sad SB, Serbia &amp; Montenegro", 
  IEEE Region 8 News, Vol. 8 No. 1, Mar 2005

- "The Conference Low-Down", IEEE Potentials, Apr/May 2005

- "The Amateur Radio Networking And Computing", proceedings,
  "PSU-UNS ICEE 2005", Novi Sad, Serbia, 2005

- "Radio-amaterske racunarske mreze", tutorial, "Info-Teh", 
  Vrnjacka Banja, Serbia, 2005 (intro: dr D. Surla, PMF)

- "Radio-veze", round table session, "Kongres JISA", Herceg 
  Novi, Montenegro, 2005.

- "The New Amateur Radio University Network - AMUNET", 
  proceedings, "9th WSEAS CSCC Multiconference", 
  Vouliagmeni, Athens, Greece, 2005.

- "The perspectives of the Amateur University Network - 
  AMUNET", WSEAS Transactions on Communications, Vol 4,
  pp 834, Sep. 2005.

- "Conferences in Serbia and Montenegro", IEEE Region 8 News,
  Vol. 8 No. 3, Sep 2005.

- "The Conference Low-Down", IEEE Potentials, Dec 2005

- "University Networking Through the Amateur Radio Communications",
  plenary lecture, "3rd WSEAS/IASME Int. Conf. on Engineering
  Education", Vouliagmeni, Athens, Greece, 2006.

- "The New Amateur Radio University Network - AMUNET (Part 2)",
  proceedings, "10th WSEAS CSCC Multiconference",
  Vouliagmeni, Athens, Greece, 2006.

- "University Networking Through the Amateur Radio Communications",
  tutorial, "10th WSEAS CSCC Multiconference",
  Vouliagmeni, Athens, Greece, 2006.
</screen>

    <para>
    
    En plus de la publication de ces articles et de la présentation de 
    ces documents, j'ai également poursuivi des études pour l'obtention 
    d'un mastère en informatique. Je suis également membre des 
    associations suivantes&nbsp;: IEEE Computer Society, IEEE 
    Communications Society et ACM. J'ai également travaillé à titre 
    bénévole à la réalisation d'un réseau informatique universitaire 
    dont le support serait constitué de postes radioamateurs. De tels 
    réseaux existent par ailleurs dans le monde, j'invite leurs 
    administrateurs à prendre contact avec moi dans le but d'une 
    coopération.
    
    </para>

  </sect1>

  <sect1>
    <title>Informations complémentaires</title>
    <sect2>
      <title>Droits d'utilisation</title>

      <para>
      
      Copyright &copy; 2006 Miroslav <quote>Misko</quote> Skoric, 
      YT7MPB.
      
      </para>

      <para><foreignphrase lang="en">
      
      Permission is granted to copy, distribute and/or modify this 
      document under the terms of the GNU Free Documentation License, 
      Version 1.1 or any later version published by the Free Software 
      Foundation; with no Invariant Sections, with no Front-Cover Texts, 
      and with no Back-Cover Texts. A copy of the license is available 
      from <ulink url="http://www.fsf.org/licenses/fdl.html"/>.
      
      </foreignphrase></para>

      <para>
      
      Vous avez le droit de copier, distribuer et modifier la version 
      originale de ce document selon les termes de la licence de 
      documentation libre GNU (GFDL) version 1.1 ou ultérieures, telle 
      que publiée par la Free Software Foundation&nbsp;; sans section 
      invariante, sans texte de première de couverture ni texte de 
      quatrième de couverture. Une copie de la licence est disponible 
      sur <ulink url="http://www.gnu.org/copyleft/fdl.html"/>.
      
      </para>

    </sect2>
    <sect2>
      <title>Limitation de responsabilité</title>

      <para><foreignphrase lang="en">
      
      Use the information in this document at your own risk. I disavow 
      any potential liability for the contents of this document. Use of 
      the concepts, examples, and/or other content of this document is 
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      </foreignphrase></para>

      <para>
      
      Vous utilisez ce document à vos risques. Je rejette toute 
      responsabilité éventuelle liée aux informations contenues dans ce 
      document. Vous utilisez les concepts, les exemples et toute autre 
      information contenue dans ce document à vos risques.
      
      </para>

      <para><foreignphrase lang="en">
      
      All copyrights are owned by their owners, unless specifically 
      noted otherwise. Use of a term in this document should not be 
      regarded as affecting the validity of any trademark or service 
      mark.
      
      </foreignphrase></para>


      <para>
      
      Les copyrights sont la propriété de leurs auteurs respectifs, sauf 
      mention contraire expresse. L'utilisation d'un terme dans ce 
      document ne peut en aucun cas remettre en cause la validité 
      d'aucune marque de commerce ou de service.
      
      </para>

      <para><foreignphrase lang="en">
      
      Naming of particular products or brands should not be seen as
      endorsements.
      
      </foreignphrase></para>

      <para>
      
      Aucune citation de produits ou de marques particulières ne 
      constitue une marque de soutien.
      
      </para>

      <para><foreignphrase lang="en">
      
      You are strongly recommended to take a backup of your system 
      before major installation and backups at regular intervals.
      
      </foreignphrase></para>

      <para>
      
      Il vous est fortement recommandé de réaliser une sauvegarde de 
      votre système avant toute installation importante et de faire des 
      sauvegardes à intervalles réguliers.
      
      </para>


    </sect2>
    <sect2>
      <title>Nouveautés</title>

      <para>
      
      Cette version n'est pas la première de ce petit guide. J'espère 
      pouvoir l'améliorer à chaque fois que cela sera possible. Il 
      existe par ailleurs d'autres documents qui pourront vous aider à 
      installer plusieurs systèmes d'exploitation sur un même 
      ordinateur. Vous pourrez les trouver au même endroit que le Petit 
      guide Linux+WindowsNT.
      
      </para>

      <para>
      
        <emphasis>Ce petit guide devrait être mis à jour de temps en 
        temps. Si vous pensez que le petit guide se trouvant dans votre 
        CD d'installation de Linux n'est pas à jour, vous pouvez 
        vérifier la disponibilité de versions plus récentes sur 
        l'Internet. Elles peuvent se trouver sur le site principal du 
        <ulink url="http://www.linuxdoc.org/">Projet de Documentation 
        Linux </ulink> ou à cette adresse&nbsp;: <ulink 
        url="http://www.tldp.org/">Projet de Documentation 
        Linux</ulink>. </emphasis>
        
      </para>

    </sect2>
    <sect2>
      <title>Remerciements</title>
      <para>

        <emphasis>Cette version du petit guide Linux+WinNT est fondée 
        sur&nbsp;:</emphasis>

      </para>

<screen>
The Linux+WindowsNT mini-HOWTO
by Bill Wohler, wohler AT newt DOT com
v1.1, 19 February 1997
</screen>

      <para>Il faut également remercier&nbsp;:</para>
<screen>

Dragomir Kalaba, un <quote>gourou</quote> local de Linux

</screen>

      <para>
      
      Merci de faire parvenir en anglais à l'auteur vos questions et 
      commentaires relatifs à la version originale de ce document à 
      l'adresse&nbsp;:

      <email>skoric CHEZ eunet POINT yu</email>

      </para>

      <para>
    
      N'hésitez pas à faire parvenir vos commentaires et suggestions 
      concernant l'adaptation française de ce document au projet <ulink 
      url="http://traduc.org">Traduc.org</ulink> à l'adresse&nbsp;:
    
      <email>commentaires CHEZ traduc POINT org</email>.

      </para>


    </sect2>

    <sect2>
      <title>Guides pratiques</title>

      <para>
      
      Les guides pratiques sont censés être des points de départ 
      principaux aussi bien pour l'obtention d'informations de base que 
      pour la résolution de problèmes spécifiques. Des guides pratiques 
      pertinents sont <literal>Bootdisk</literal>, 
      <literal>Installation</literal>, <literal>SCSI</literal> and 
      <literal>UMSDOS</literal>. Le site principal pour les obtenir est 
      <ulink url="http://metalab.unc.edu/LDP/">Archive LDP</ulink> à 
      Metalab (anciennement Sunsite).
      
      </para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Petits guides</title>
      <para>
      
      Les petits guides sont des fichiers plus petits au format texte 
      simple de la famille des guides pratiques. Des petits guides 
      pertinents sont
      
      <literal>Backup-With-MSDOS</literal>, 
      <literal>Diskless</literal>, 
      <literal>LILO</literal>, 
      <literal>Large Disk</literal>, 
      <literal>Linux+DOS+Win95+OS2</literal>, 
      <literal>Linux+OS2+DOS</literal>, 
      <literal>Linux+Win95</literal>, 
      <literal>Linux+WindowsNT</literal>, 
      <literal>Linux+NT-Loader</literal>, 
      <literal>NFS-Root</literal>, 
      <literal>Win95+Win+Linux</literal>, 
      <literal>ZIP Drive</literal>, 
      <literal>FBB packet-radio BBS</literal>.
      
      Vous pourrez les trouver à l'endroit où se trouvent les guides 
      pratiques, généralement dans un sous répertoire appelé 
      <literal>mini</literal>. Il faut noter qu'il est prévu de les 
      convertir au format SGML afin qu'ils deviennent des guides 
      pratiques à part entière dans un futur proche.
      
      </para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Ressources locales</title>

      <para>
      
      La plupart des distributions de Linux comportent un répertoire de 
      documents, souvent le répertoire <ulink 
      url="file:///usr/doc">/usr/doc</ulink> directory. où sont stockés 
      les documents principaux et les fichiers README associés à la 
      plupart des paquetages. Vous y trouverez également l'archive des 
      guides pratiques (<ulink 
      url="file:///usr/doc/HOWTO">/usr/doc/HOWTO</ulink>) ainsi que 
      l'archive des petits guides (<ulink 
      url="file:///usr/doc/HOWTO/mini">/usr/doc/HOWTO/mini</ulink>) au 
      format texte simple.
      
      </para>

      <para>
      
      La plupart des fichiers de configuration cités ci-dessus se 
      trouvent dans le répertoire <ulink url="file:///etc">/etc</ulink> 
      directory. Vous aurez certainement besoin du fichier <ulink 
      url="file:///etc/fstab">/etc/fstab</ulink> qui permet de 
      configurer le montage des partitions et peut être également du 
      fichier <ulink url="file:///etc/mdtab">/etc/mdtab</ulink> qui est 
      utilisé par le système <literal>md</literal> pour la configuration 
      du RAID.
      
      </para>

      <para>
      
      Le code source du noyau, situé dans <ulink 
      url="file:///usr/src/linux">/usr/src/linux</ulink> constitue bien 
      entendu la documentation ultime. Il faut également signaler que le 
      noyau est non seulement accompagné du code source qui comporte 
      même des commentaires (au moins en partie), mais également d'un 
      répertoire de documentation instructif <ulink 
      url="file:///usr/src/linux/Documentation">répertoire de 
      documentation</ulink>. Si vous vous préparez à poser une question 
      quelconque à propos du noyau, lisez cela en premier, cela vous 
      épargnera beaucoup de temps, à vous comme aux autres et peut être 
      également de la gêne.
      
      </para>

      <para>
      
      Consultez également le fichier journal de votre système (<ulink 
      url="file:///var/log/messages">/var/log/messages</ulink>) pour 
      savoir ce qui se passe, en particulier comment s'est déroulé le 
      démarrage, lorsque de nombreux messages ont été affiché à l'écran. 
      À l'aide de la commande <literal>tail -f 
      /var/log/messages</literal> lancée depuis une fenêtre ou un écran 
      distincts, vous obtiendrez un affichage permanent de l'état 
      courant de l'activité du système.
      
      </para>

      <para>
      
      Vous pourrez également tirer parti du système de fichiers <ulink 
      url="file:///proc">/proc</ulink> qui est une fenêtre sur le 
      fonctionnement intime du système. Utilisez <literal>cat</literal> 
      plutôt que <literal>more</literal> pour visualiser les fichiers 
      car leur longueur est nulle. Il paraît que la commande 
      <literal>less</literal> fonctionne bien, également.
      
      </para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Pages Web</title>

      <para>
      
      Il existe une énorme quantité de pages Web instructives&nbsp;; par 
      nature, elles sont fréquemment modifiées, aussi, ne soyez pas 
      surpris si les liens ci-dessous deviennent rapidement obsolètes.
      
      </para>

      <para>
      
      Un bon point de départ est bien entendu le site <ulink 
      url="http://www.linuxdoc.org/">Project de Documentation Linux 
      </ulink> ou bien celui-ci&nbsp;: <ulink 
      url="http://www.tldp.org/">Project de Documentation Linux</ulink> 
      un site d'information central pour tout ce qui concerne la 
      documentation, les pages projet et bien d'autres choses.
      
      </para>

      <para>
      
      Merci de me signaler d'autres pistes potentiellement 
      intéressantes.
      
      </para>

    </sect2>
  </sect1>

  <sect1>
    <title>Obtenir de l'aide</title>

    <para></para>

    <para>
    
    Il se pourrait que vous soyez en fin de compte dans l'impossibilité 
    de résoudre vos problèmes et que vous ayez besoin de l'aide d'une 
    autre personne. La meilleure façon de le faire est de demander à une 
    personne de votre entourage ou au groupe d'utilisateur de Linux le 
    plus proche que vous pourrez trouver à l'aide du Web.
    
    </para>

    <para>
    
    Il est également possible de s'adresser à l'un des très nombreux 
    groupes de discussion de Usenet. Le problème est que la quantité de 
    messages et le bruit (un faible rapport de signal à bruit) sont si 
    importants que votre question restera peut être sans réponse.
    
    </para>

    <para>
    
    Que vous posiez la question là ou ailleurs, il est important de le 
    faire correctement car sinon vous ne serez pas pris au sérieux. Dire 
    seulement <emphasis>mon disque ne marche pas</emphasis> ne vous 
    aidera pas beaucoup, au contraire, cela augmentera le niveau de 
    bruit et vous aurez de la chance si quelqu'un consent à vous 
    demander de préciser votre question.
    
    </para>

    <para>
    
    Décrivez au contraire votre problème avec suffisamment de détails 
    pour qu'on puisse vous aider. Le problème pourrait avoir une cause 
    que vous ne soupçonnez pas. Il vous est donc conseillé de donner la 
    liste suivante de renseignements sur votre système&nbsp;:
    
    </para>

    <para>
      <variablelist>
        <varlistentry>
          <term>Matériel</term>
          <listitem>
            <para>
              <itemizedlist>
                <listitem>
                  <para>Processeur</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>DMA</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>IRQ</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>Chip set (LX, BX etc)</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>Bus (ISA, VESA, PCI etc)</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>Cartes d'extension utilisées (contrôleurs de disques, vidéo, E/S, etc.)
                  </para>
                </listitem>
              </itemizedlist>
            </para>
          </listitem>
        </varlistentry>
        <varlistentry>
          <term>Logiciel</term>
          <listitem>
            <para>
              <itemizedlist>
                <listitem>
                  <para>BIOS (de la carte mère et éventuellement des adaptateurs hôtes SCSI)</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>LILO, si utilisé</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>Version du noyau Linux ainsi que les éventuelles modifications et correctifs</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>Les paramètres du noyau, s'ils existent</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>Le logiciel qui manifeste l'erreur (avec la version ou la date)</para>
                </listitem>
              </itemizedlist>
            </para>
          </listitem>
        </varlistentry>
        <varlistentry>
          <term>Périphériques</term>
          <listitem>
            <para>
              <itemizedlist>
                <listitem>
                  <para>Type des lecteurs de disques avec le nom du fabriquant, la version et le type</para>
                </listitem>
                <listitem>
                  <para>Autres périphériques pertinents connectés aux mêmes bus</para>
                </listitem>
              </itemizedlist>
            </para>
          </listitem>
        </varlistentry>
      </variablelist>
    </para>
    <para>
    
    Rappelez-vous que le texte accompagnant l'amorçage est enregistré 
    dans <literal>/var/log/messages</literal> et qu'il peut fournir la 
    plupart des renseignements ci-dessus. Évidemment, si les disques 
    sont défaillants, il vous sera peut être impossible d'accéder aux 
    enregistrements, mais vous pourrez au moins faire défiler le texte à 
    l'écran à l'aide des touches <literal>MAJ</literal> et <literal>PAGE 
    PREC</literal>. Il pourrait être également utile d'en inclure une 
    partie dans votre demande d'aide, mais n'exagérez pas, restez 
    <emphasis>bref</emphasis>, car un fichier journal complet posté sur 
    Usenet est pour le moins gênant.
    
    </para>
  </sect1>
</article>

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